Le bilan moral et financier (2007) de la F�d�ration alg�rienne de tennis (FAT) ainsi que le plan d�action de l�exercice 2008 ont �t� approuv�s lors de l�AGO qui s�est tenue jeudi au centre de regroupement de l��lite (Ghermoul). L�assembl�e g�n�rale qui s�est d�roul�e a �t� pr�sid�e par son pr�sident le professeur Mohamed Djennas et assist� par les repr�sentants du MJS, Na�mane Badreddine et Djarraoui Mohamed respectivement directeur et sous-directeur des sports. Avant de d�marrer l�AG, c�est Na�mane qui a pris la parole afin d�exhorter les membres � faire preuve de sagesse et prendre leur responsabilit� �Il est temps de se remettre au travail et dissiper les malentendus qui portent pr�judice � la discipline. L�heure est d�accro�tre le nombre de pratiquants non seulement dans le tennis, mais dans toutes les disciplines. Malheureusement, il faut le dire aujourd�hui que notre sport regroupe seulement un million de licenci�s (toutes disciplines confondues), sur huit millions de jeunes sans activit�s sportives. Alors que l�Etat a d�pens� plus de 500 milliards de dinars pour le sport�, confie-t-il. Sur les 63 membres que compose l�AG, 47 �taient pr�sents et par cons�quent le quorum a �t� atteint. Apr�s c��tait au tour du pr�sident Djennas de faire la lecture du bilan moral et financier de la pr�c�dente saison. Comme pr�vu, des voix se ont �lev�es comme celles de l�alliance entre Mohamed Bouabdellah et Tarik Benhabylles qui ont remis en cause la gestion de la FAT. C��tait de bonne guerre, comme dirait un membre de l�AG. Le plus �g� de la discipline en l�occurrence Abdeslam Mahmoudi n��tait pas, lui, content de cette tournure et a quitt� pr�matur�ment la salle. Avant il a qualifi� les �opposants� du professeur Djennas de �saboteurs� qui se sont pr�sent�s � l�AG �pour r�gler les comptes et d�fendre leurs int�r�ts�. Au final, et apr�s quelques r�serves du contr�leur financier, le scrutin a donn� 23 voix pour et 23 contre et une abstention. Mais la voix pr�pond�rante du professeur Mohamed Djennas a fait la diff�rence comme le stipule la r�glementation en cas de ballottage. Du coup, l�opposition a quitt� soudainement la salle, laissant les membres qui ont �t� rejoints par trois autres ( au total 26 ) voter le plan d�action et surtout le mandatement du commissaire aux comptes. Qu�a cela ne tienne, les �vaincus� ont laiss� entendre qu�ils allaient faire une fois de plus recours dans le but de �d�noncer les �carts de gestion qui furent port�s � la connaissance des membres de l�assembl�e g�n�rale�.