Mocta Douze, une petite localit�, fait partie des six communes de la da�ra de Mohammadia, dans la wilaya de Mascara. Au sein de l�APC, les ponts semblent �tre rompus entre le maire et les six autres �lus n�arrangeant gu�re les int�r�ts de la commune et des citoyens qui aspirent � autre chose que cette situation conflictuelle. Comment en est-on arriv� l� ? Il y a quatre mois environ, les �lus introduisaient un retrait de confiance au P/APC. Aucune suite n�y a �t� accord�e par l'administration et voil� qu�une menace de d�mission collective est brandie par ces m�mes �lus. Rencontr� mardi � Mohammadia, le P/APC de Mocta Douze sort de sa r�serve et d�clare que derri�re toute cette agitation il y a un enjeu. Lequel ? Il nous fera alors savoir que deux mises en demeure de d�molition d�une construction illicite avaient �t� adress�es � un �lu de l�APC et ceci avait fait r�agir ses pairs qui se sont solidaris�s avec lui. Jusqu�� quand cette situation de blocage? L�avenir nous le dira. En attendant, nous apprenons que la d�cision de d�molition de ladite construction illicite avait �t� sign�e lundi par le maire. Voil� ou en est l�APC de Mocta Douze. Les int�r�ts des citoyens attendront que se d�cante cette situation. M. Meddeber Les mises en garde du wali � Mohammadia Mardi dernier, on c�l�brait le 24 f�vrier � Mohammadia. En ce double anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et de la cr�ation de l�UGTA, le wali de Mascara a effectu� une visite de travail dans la cit� des Orangers. Au niveau des ateliers de maintenance de la SNTF, il fera une intervention au cours de laquelle il adressera de s�v�res mises en garde aux opportunistes de tous bords. Adoptant un ton ferme, il usera du qualificatif de �bandits�, coutumier chez lui pour d�signer ceux qui, dira-t-il, ne reculent devant rien pour assouvir leurs d�sirs personnels. Que ces gens-l� s��cartent de notre chemin, dira-t-il, car ils n�ont rien � voir avec notre soci�t�. Depuis son installation � la t�te de la wilaya de Mascara, M. Larbi Merzoug avait annonc� la couleur et quelque part cela a fait grincer des dents. Beaucoup de gros pontes qui avaient pignon sur rue �taient rentr�s dans les rangs. Au sein de la population, il y avait consensus autour de la d�marche adopt�e par le premier responsable de l�ex�cutif. Jusque dans les bourgades les plus recul�es. Ce jour-l�, il ira plus loin en lan�ant : �Nous combattons par la loi ceux qui ne reculent devant rien et qui usent de proc�d�s comme le chantage et les menaces.�