Chaouch-Teyara invite les f�d�rations � engager le processus de renouvellement de l�instance olympique nationale. Dans une correspondance dat�e du 29 avril dernier, celui qui dit �tre l�int�rimaire l�gal de Mustapha Berraf, pr�sident sortant du COA, annonce la couleur. Il fixe la date du 4 juin prochain pour la tenue du conclave �lectif du Comit� olympique alg�rien sans oublier de fixer, au passage, les r�gles du jeu de l�alternance. Un communiqu� qui a fait r�agir des membres de la famille du MSN parmi lesquels des pr�sidents de f�d�rations nationales signataires, la semaine derni�re, d�une motion de retrait de confiance � Berraf et � son squelettique bureau sortant. Autod�sign� int�rimaire d�un mandat boucl�, l�ancien pr�sident de la FAA a mis en exergue la force statutaire de l�article 15 de la charte olympique qui stipule que l�int�rim, en cas de vacance d�finitive de la pr�sidence du CNO, revient au premier vicepr�sident. Chaouch- Teyara l��tait, avant le 3 mars. Pas apr�s. Le seul en mesure d�agir dans la l�galit� statutaire, de par la fameuse charte olympique, est Na�dji Nacereddine, secr�taire g�n�ral du Comit� olympique, qui doit g�rer les affaires courantes durant la p�riode de vacance de pouvoir. L�ex-pr�sident de la FAC a surtout le devoir de mettre � la disposition de Mustapha Larfaoui et d�un des membres du comit� ex�cutif du bureau sortant, tout l�arsenal juridique et mat�riel pour la pr�paration et l�organisation de l�AG �lective. Ceci en se basant sur l�article 6 du r�glement int�rieur de l�instance olympique nationale cit� en r�f�rence par Chaouch- Teyara qui invitera Larfaoui, en tant que repr�sentant du CIO et Si- Mohamed Baghdadi en qualit� d�ancien pr�sident du COA (l�article 6 parle d�un membre du CE) � si�ger dans ladite commission. Pourquoi Si- Mohamed Baghdadi et pas un autre ancien pr�sident parmi ceux toujours en vie ? Aussi, il est question d�une demande expresse d�un audit financier externe au niveau du comit� olympique. �C�est un imp�ratif que nous nous devons d�atteindre. La gestion du COA, depuis le 3 mars dernier, doit �tre recens�e et contr�l�e. Le prochain bureau ex�cutif ne doit pas g�rer un passif qui ne le concerne pas. Berraf et son bureau doivent justifier les d�penses engag�es depuis cette date�, pr�cise notre source, qui s�offusque contre les mani�res peu orthodoxes de Chaouch-Teyara envers Larfaoui et certains membres de l�AG qui ont �t� chass�s du si�ge du COA alors qu�ils �taient venus voir o� en �taient les choses.