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30 FAMILLES R�SIDANT DANS DES IMMEUBLES MENA�ANT RUINES LANCENT UN SOS
Seule l�intervention des autorit�s locales d�Oran pourrait �viter la catastrophe
Publié dans Le Soir d'Algérie le 27 - 09 - 2009

En ce d�but d�automne qui s�annonce pluvieux, plusieurs familles vivent apeur�es par le risque permanent de p�rir victimes de l�effondrement de leurs b�tisses pr�caires. C�est le cas de nombreuses familles � qui nous avons rendu visite ce week-end suite aux derni�res intemp�ries qui ont caus� d��normes d�g�ts � leurs maisons.
Class� comme menac� d�effondrement depuis des dizaines d�ann�es par les diff�rentes commissions techniques d�p�ch�es sur les lieux par la Protection civile, les services de wilaya, ainsi que l�OPGI (le propri�taire initial de cette b�tisse), un vieil immeuble de construction coloniale, situ� au 15 rue Faroukhi Mustapha, au Cavaignac, est l�un des exemples concrets de cette frange de citoyens oranais qui fr�lent la mort � chaque chute de pluie ou � la moindre secousse tellurique. Le drame pour ces familles, c�est qu�elles n�ont nulle part o� aller. Constitu� d�un R+1, l�immeuble en question abrite actuellement dix-huit familles, qui ont adress� plusieurs plaintes aux responsables de la wilaya pour mettre fin � leur calvaire, et en guise de r�ponse, elles ont re�u des promesses. Le toit, construit de brique, emp�chait autrefois la p�n�tration de l�eau de pluie, ne garanti actuellement aucune �tanch�it�, d�o� le constat des mares d�eau que nous observons � l�int�rieur de chaque pi�ce de cet immeuble suite aux derni�res chutes de pluie. �L�eau coule � flots lorsqu�il pleut�, nous signale avec inqui�tude un jeune de 25 ans, qui occupe une minuscule chambre qu�il partage avec sa nombreuse famille. Ce jeune, qui s�inqui�te du risque permanent de l�effondrement de l�immeuble, nous souligne que le taux �lev� de l�humidit� affecte � son tour la sant� des r�sidants de cet immeuble, notamment les enfants et personnes �g�es dont beaucoup sont devenus asthmatiques. Il pr�cise que son p�re est d�c�d� suite aux complications de l�asthme qu�il a contract� au fil du temps � cause du probl�me d�humidit�. Cet immeuble a d�j� subi plusieurs d�g�ts, l�effondrement de ses escaliers, l��croulement partiel de certains plafonds des pi�ces du rez-dechauss�e, des plates-formes du premier �tage, ainsi que des murs lat�raux de soutien. Pour pallier cette situation, des portes sont utilis�es en guise de passerelles, plac�es sur les trous g�n�r�s par les effondrements r�p�t�s qu�� enregistr�s ce vieux b�timent, notamment pour rendre possible le d�placement d�une pi�ce � l�autre. Plusieurs enfants qui habitent ce b�timent gardent sur leurs fr�les corps les cicatrices des nombreuses fractures et blessures laiss�es suite � leurs chutes accidentelles du haut des escaliers ou carr�ment en tombant dans l�un des trous cit�s. Les nombreuses familles r�sidant dans cet immeuble avec lesquelles nous avons pris attache, ainsi qu�avec leurs voisins du n�17 et n�19 (une dizaine de familles), comptent sur la bonne volont� des responsables locaux afin de mettre un terme � leur calvaire. Elles esp�rent que les promesses de relogement qui leur ont �t� signifi�es soient honor�es dans l�imm�diat, compte tenu de la situation catastrophique dans laquelle elles vivent et la menace de mort certaine � laquelle elles sont expos�es. Ces familles nous ont fait visiter une chambre o� elles entassent, depuis pr�s d�une ann�e, leurs affaires sont dans les cartons, en pr�vision d�un �ventuel d�m�nagement, tout en esp�rant �tre dignement relog�es.

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