Bravo Khadafi ! J�e n�ai jamais pens� qu�un jour je vais aimer El-Khadafi, mais son passage � l�ONU m�a s�duit, enfin un chef d�Etat arabe qui a os� porter les pantalons, le fait qu�il ait jet� la charte de cette derni�re par terre, humilie certainement les com�diens qui ont fait de cette organisation une chambre de commerce, bravo et chapeau ! ce qu�il fallait dire � cette ramass�e d�hypocrites a �t� fait, l�ONU qui a connu le terrorisme juste en 2001 mais pas avant, l�ONU qui a condamn� les actes barbares quand ces 3 employ�s ont �t� assassin�s alors que nous, on comptait des centaines de milliers, aussi le geste le plus minable qu�il faut noter est le fait que les Occidentaux ont quitt� la salle pour boycotter le pr�sident iranien, O.K., on est tous contre la violence, mais vous auriez pu quitter quand le criminel de guerre Georges W. Bush dictait ses lois, vous auriez pu quitter quand le boucher Sharon exposait ses crimes contre des enfants � Ghaza, vous �tes juste l�imp�rialisme personnifi�, je suis personnellement tr�s content des propos de Khadafi qui a d�clar� ouvertement que nous les opprim�s, on ne reconna�t pas vos patates en attendant que les pays dignes quitteront cette organisation qui ne sert � rien, � part l�galiser le m�pris envers les peuples pauvres, une organisation qui permet � des incomp�tents qui traitent des humains pour des racailles de s�exprimer et de donner des le�ons en droits humains, nous les l�s�s, on aime beaucoup plus Che Guevara, Castro, Chavez and Co que les costum�s branches � foin qui n�ont aucun principe. Avec mon profond respect pour le pr�sident Obama qui fait l�exception. Habbib Hadj Brahim, sois Khaled et tais toi� Cheb Khaled aurait plaid� la cause de nos pauvres fr�res marocains expuls�s injustement d�Alg�rie. C�est du moins ce que j�ai pu lire dans un quotidien national. D�cid�ment, �business is business �. Qu�est-ce qu�on ne ferait pas pour une promo. Cette formule restera la formule phare de ces cinquante derni�res ann�es, on pourrait m�me parfois �tre tent�s de pardonner si seulement on pouvait l�utiliser sans forc�ment user de subterfuges, de mensonges, et parfois m�me de b�tises. Pour ma part, fan de Khaled, je reste certain qu�il ne s�agit ni de subterfuges ni de mensonges. Juste sans doute inspir� par de longues ann�es de lectures et de m�ditation sur les relations alg�romarocaines et sa longue exp�rience politique, m�ditations et exp�riences qui ont permis au king du ra� d�offrir � l�humanit� ce fameux axiome, que dis-je ? Cette loi existentielle que nous citerons pour la post�rit� : �DIDI, DIDI, DIDIDIDIDIDI �. A m�diter. Dans un vernissage public, consid�r� comme le premier de l�histoire, en pleine centre d�Ath�nes, dans la Gr�ce antique. Un cordonnier arr�t� devant une des toiles repr�sentant une femme portant une sandale en cuir, en pleine r�flexion, attira l�attention de l�artiste exposant, qui consid�ra que le cordonnier avait sans doute une remarque pertinente � formuler concernant le design de la sandale, et c�est suite � la remarque sur l�anatomie de la dame sur le tableau que l�artiste dit au cordonnier �pas plus loin que la chaussure cordonnier�. Khaled, on t�aime, et tu nous fais si bien danser, en fait, (c�est comme il a dit lui). �Pas plus loin que la musique, l�artiste�. [email protected] R�surgence de vieux fl�aux Dans son �dition du 22/9/2009, El Watan titre : nouveau ph�nom�ne : les batailles rang�es. Bagarres, vendettas, affrontements tribaux constituent certainement un �ph�nom�ne� qui refait surface dans un climat de d�s�uvrement total au point qu'un foss� semble s'�tre creus� entre les institutions et les citoyens. D�j� dans �L'�thique de nicomaque �, Aristote remarquait que si les hommes vivaient dans la concorde, s'ils pratiquaient l'amiti� tut�laire, ils n'auraient pas besoin de justice. Il n'y a pas donc lieu de s'�tonner de la r�surgence de ce ph�nom�ne dans un environnement o� la primaut� des valeurs a �t� renvoy�e aux calendes grecques. Cette violence, si on peut l'exprimer ainsi, a une origine intentionnelle, une intention dirig�e vers quelque chose qu'on veut casser, d�truire, punir � l'exemple de �l'autre � qui j'en veux, que je me mets � d�tester etc.� Ce ph�nom�ne n'aurait pas lieu d'exister, voire r�duit � sa plus simple expression si aujourd'hui, dans l'�ducation au lieu de s'accorder d'exiger le port du tablier, on aurait pris en charge la compr�hension des valeurs spirituelles, de rendre possible la cr�ation tr�s t�t d'un syst�me des valeurs chez l'enfant. La sagesse des �anciens� le savait et c'est la raison pour laquelle on se servait des contes, des l�gendes et des histoires du terroir. Cela permettait de mettre graduellement au jour le syst�me des valeurs qui est en amont de toute d�cision dans l'enseignement dispens� par l'�cole.