La brigade de la gendarmerie de A�n-Be�da, et sur information, a pu intercepter, en fin de semaine, une bande compos�e de quatre individus �g�s entre 20 et 32 ans. L'information parvenue aux services de la gendarmerie faisait �tat de l'existence d'une bande � bord d'un v�hicule particulier, d�tenant une quantit� de drogue, qui circulait dans la wilaya. Forts de certaines donn�es, les services de s�curit� ont tendu une sourici�re sur la route reliant A�n-Be�da � Souk-Ahras et le v�hicule r�pondant au signalement est intercept�. Apr�s une fouille minutieuse, la gendarmerie a trouv� 200 g de kif trait� dissimul� � l'int�rieur du v�hicule. Apr�s les formalit�s d'usage, les quatre trafiquants ont �t� pr�sent�s devant le procureur pr�s le tribunal de Ain-Be�da qui a ordonn� leur mise mandat de d�p�t. FKIRINA Saisie de plus de 2 tonnes de produits d�importation frauduleuse La brigade de la gendarmerie de Fkirina, localit� situ�e � 70 km au sud-est du chef-lieu de wilaya, a intercept� deux v�hicules particuliers, une R25 et une R21, transportant plus de 2 tonnes de produits alimentaires provenant de la Tunisie. Ces produits, dont la moiti� est compos�e de concentr� de tomates et de p�tes alimentaires, sont destin�s pour les villes du nord de la wilaya. Les services de la gendarmerie ont proc�d� � la saisie des produits et la mise en fourri�re des deux v�hicules ; quant aux deux conducteurs, ils sont toujours au stade de l'interrogatoire qui pourrait aboutir au d�mant�lement du r�seau op�rant dans ce trafic. A rappeler que ce genre de commerce illicite, qui porte un coup dur � l'�conomie nationale, a pris des proportions inqui�tantes ces derniers temps. A�N-BE�DA Les souscripteurs des 40 LSP en col�re Les souscripteurs aux logements de type LSP, au nombre de 40, se sont manifest�s en mettant en garde l'OPGI d'Oum-El-Bouaghi, promoteur du programme. Les b�n�ficiaires, dans une lettre remise � notre journal, d�noncent le mutisme du promoteur � leur �gard. En effet, ces souscripteurs, rel�vent-ils dans leur lettre, ont vers� deux apports cons�cutifs exig�s par l'OPGI ainsi que celui de la Caisse nationale du logement, ces op�rations ayant �t� effectu�es depuis 2006 et, jusqu'� ce jour, le promoteur refuse de d�livrer les actes aux b�n�ficiaires. Toujours selon le contenu de la lettre, ces actes permettent aux acqu�reurs de contracter des pr�ts aupr�s des banques pour finaliser leurs logements. Ces souscripteurs, dont la majorit� sont des fonctionnaires, sont en train de subir des charges compl�mentaires de loyer tr�s excessives et sont inquiets quant � l'avenir de leurs logements. Les souscripteurs ont tent� de d�bloquer la situation avec les responsables de l'OPGI, mais peine perdue, puisque aucun d�nouement ne se dessine � l'horizon. Totalement d�sesp�r�s, ces b�n�ficiaires, et dans un ultime recours, ont saisi les responsables locaux, � leur t�te le chef de l'ex�cutif, pour interc�der aupr�s de l'OPGI et permettre de r�gulariser une situation qui n'a que trop dur�.