Le propri�taire d�une r�sidence � Sayada a �t� victime d�un cambriolage entre les 9 et 10 avril derniers. Il avait quitt� sa villa au cours de cette p�riode et a eu la d�sagr�able surprise de constater le vol � son retour : un fusil de chasse, 20 millions de centimes et des bijoux. Les premi�res investigations de la police judiciaire ont permis d�arr�ter un suspect, il s�agirait de son propre fils qui r�side � Mazagran et qui a reconnu �tre l�auteur de ce vol. Les objets vol�s ont �t� r�cup�r�s chez des receleurs � l�exception du fusil de chasse qui s�av�re sans permis et qui a �t� vendu � un �migr� demeurant � Mazagran moyennant la somme de 10 millions de centimes. Ce dernier aurait marchand� l�arme � feu pour la revendre � un fonctionnaire de l�APC d�Oran � raison de 15 millions de centimes. Les enqu�teurs ont trouv�, lors de la perquisition du domicile de ce dernier, un fusil � pompe, un fusil de marque Robusta et 2 600 cartouches mais point de fusil de chasse puisqu�il a �t� encore une fois revendu � une autre personne � Ksar Chellala (W. Tiaret) pour un montant de 18 millions de centimes. Au total, 8 personnes, �g�es entre 21 ans et 79 ans, sont m�l�es dans cette affaire de vol qualifi�, de trafic d�armes, de d�tention et vente d�armes � feu sans autorisation et de recel d�objets vol�s. 5 individus ont �t� mis sous mandat de d�p�t, 2 laiss�s en libert� provisoire et 1 sous contr�le judiciaire. A. B. Une usine de recyclage sans registre du commerce ferm�e La gendarmerie de Mostaganem vient de mettre fin � l�activit� commerciale d�une usine de recyclage de plastique ill�gale. Cette usine appartient � une personne originaire de Chlef. Elle �tait implant�e sur une importante superficie dans la commune d�El-Haciane depuis l�ann�e 2008. Cependant, les d�lits reproch�s au propri�taire sont l'exercice ill�gal d�une activit� commerciale et l��vasion fiscale. Il dirigeait son usine en toute discr�tion sans registre du commerce, encore moins une carte fiscale. Il a �t� pr�sent� devant le tribunal qui l�a mis sous mandat de d�p�t le 24 avril dernier. L�affaire est actuellement en instruction et pour bon nombre d�observateurs, elle risque d�aboutir � d�autres r�v�lations li�es aux facilit�s accord�es � � cette personne pour la commercialisation de ses produits sans que des contr�les des services de l�inspection du travail, du commerce ou de l�environnement n�aient eu lieu. L�usine a ferm� et son personnel mis d�finitivement au ch�mage.