Lorsqu'on parle de sponsors, c'est généralement le sport roi qui est le plus cité, en étant le pricipal bénéficiaire, une logique qui semble s'installer durablement dans notre pays. Qui pourrait détrôner ce sport qui rapporte en matière de finances, contrairement aux autres sports ? En revanche, pour les autres équipes nationales, clubs, associations sportives des autres pratiques sportives, la rentrée approche à grands pas, et c'est le moment de trouver un soutien financier, un sponsor sportif, une entreprise ou un partenaire, car l'argent de l'état se fait désirer. Ce qui pourrait vous aider à mieux entreprendre votre parcours sportif. Un beau dossier... présentation de votre formation à tout point de vue, cela semble un minimum malgré tout. Des questions liées à votre projet, vos objectifs, et surtout à vos réussites, elles vous impliquent pour qu'elles vous connaissent. Cette partie est donc essentielle à votre recherche de sponsors. Toute la présentation de vos projets, le plus souvent, ne serait finalement qu'un casse-tête, juste pour vous montrer que vous connaissez exactement cet équipement qui vous convient dont vous avez réellement besoin. Contrairement aux autres sports, le football ne semble point concerné par cette donne. Vous comprendrez qu'aucune entreprise ne viendra vous sponsoriser pour vous faire plaisir. Il est donc capital d'expliquer ce que votre sponsor (partenaire) s'attend à obtenir en retour. Autre avantage, la fiscalité. Cet argument ne doit pas être votre argument principal, mais sera certainement un gros morceau une fois la négociation entamée. Une fois dans le bain, la panique s'installe dès lors que chacun souhaite se placer au-devant de la scène. Le sponsor, grand bénéficiaire, prend généralement le dessus, préférant s'occuper des disciplines porteuses comme le sport roi bien entendu, que se limiter à d'autres ne rapportant aucun intérêt, surtout médiatique. Le sport roi, la part du lion Le sponsoring sportif, dans son ensemble, est généralement sur une dynamique de croissance ; c'est inévitablement le football qui se taille la belle part du lion. Il faut dire qu'en plus d'être le sport le plus pratiqué, sponsoriser une équipe, ou une compétition de football, a l'avantage de comporter moins de risques que le fait de sponsoriser un unique individu ou une autre discipline. En plus et contrairement à un joueur de tennis, de basket-ball ou de handball, un footballeur ayant un problème quelconque pourra compter sur le reste de l'équipe pour compenser sa défaillance provisoire. En insérant, par ailleurs, le nom d'une marque sur un jeu de maillot, le message du sponsor bénéficie d'une force de frappe démultipliée par l'ensemble des joueurs présents sur le terrain. La contrepartie étant que ce type de sponsoring est moins générateur d'affect, car moins personnifié. La dimension collective du football induit, en effet, une dilution du message de la marque à travers la somme des individualités qui la véhiculent. Néanmoins c'est aussi cela qui rassure les grosses structures souhaitant investir. Il faut dire que les footballeurs, malgré l'encadrement dont ils disposent, sont, il est vrai, trop souvent associés à des scandales médiatiques. Les compagnies de téléphonie mobile, les plus sollicitées En revanche, et au moment où le salaire d'un footballeur coûte généralement une subvention d'un club ou d'une ligue sportive, les salaires des joueurs de football ne cessent de grimper. Les grands clubs sont contraints de signer de très importants contrats de sponsoring pour pouvoir supporter cette inflation salariale. Pendant ce temps, les compagnies de téléphonie mobile qui ne cessent d'alimenter une seule discipline devraient faire la part des choses, surtout que l'argent d'un club de football peut servir deux ou trois autres fédérations sportives huppées en termes de résultats sportifs. En somme, ces structures fédérales nationales souffrent d'un manque criant d'argent, et restent le plus souvent tributaires de subventions provenant de l'état. Même les compagnies de téléphonie mobile leur ont tourné le dos en raison d'un déficit ou juste d'une omission. Cette année, le comble a encore viré au cauchemar pour le sport national, puisque les instances nationales n'ont pas encore perçu la totalité de leur dû, le sponsor pouvait dans ce cas leur servir de soutien lequel aussi pouvait sauver des milliers d'athlètes en quête de meilleurs résultats au moment où de grandes compétitions qui se profilent à l'horizon, à l'image des Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 qui seront suivis des Jeux Méditerranéens que la ville d'Oran accueille en 2021.