Les appels lancés par la communauté mondiale pour l'annulation de l'attaque lancée par le maréchal Haftar, n'ont pas été respectés. L'attaque lancée par le maréchal Haftar contre Tripoli continue, tandis que 121 personnes sont mortes pendant les combats. La guerre lancée par le maréchal Haftar fait de nombreux morts, tandis que les civils fuient les combats par milliers. Les appels lancés par la communauté mondiale pour l'annulation de l'attaque lancée par le maréchal Haftar, n'ont pas été respectés. Le Président égyptien a reçu à son palais le maréchal Khalifa Haftar, dont les forces poursuivent leur offensive contre les troupes fidèles au gouvernement de Tripoli. L'homme fort de l'est libyen, qui mène une opération pour arracher Tripoli au gouvernement de concorde nationale, GNA, le maréchal Khalifa Haftar, a été reçu au Caire par le Président Abdel Fattah al-Sissi, relate Reuters, relayant un porte-parole du chef d'Etat. Selon les médias officiels, les deux hommes ont discuté au palais présidentiel «des derniers développements en Libye». Aucun détail concernant la rencontre n'est disponible pour l'heure. Jusqu'ici, les troupes fidèles au gouvernement d'union nationale de Fayez el-Serraj sont parvenues à tenir celles d'Haftar à distance, mais de violents combats ont eu lieu aux abords de l'aéroport de Tripoli. Les hostilités survenues près de Tripoli ont fait 121 morts. Plus tôt au mois d'avril, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Choukri, avait averti que le conflit libyen ne pourrait être résolu par des moyens militaires. Le président du parlement de l'est libyen a annoncé que les forces du maréchal Khalifa Haftar poursuivraient leur offensive sur Tripoli, malgré les nombreux appels à cesser des combats, qui ont déjà fait au moins 121 morts. L'ANL du maréchal Haftar mène depuis le 4 avril, une offensive pour tenter de s'emparer de la capitale. Celui-ci espère étendre son emprise sur l'ouest de ce pays pétrolier, alors qu'il contrôle déjà l'est et une grande partie du sud, mais il se heurte aux forces loyales au Gouvernement nationale, issu d'un accord politique interlibyen parrainé par l'ONU et soutenu par la communauté internationale depuis 2015. L'attaque lancée par le maréchal Haftar contre Tripoli est dénoncée par la communauté mondiale. Le maréchal Haftar, qui occupe une superficie de la Libye dont des champs de pétrole, était engagé, au même titre que le premier ministre, pour les élections. Dans une rencontre qui a eu lieu en 2018, en France, le maréchal Haftar et le premier ministre étaient en accord pour des élections en 2018. Les élections n'ont pas eu lieu. Un nouvel engagement a été pris pour les élections en 2019. Les élerctions ne peuvent pas avoir lieu dans les conditions de guerre. L'attaque lancée par le maréchal Haftar a eu lieu, au moment où l'ONU prépare une conférence pour la réconciliation. L'attaque lancée par le maréchal Haftar est en contradiction avec les efforts de paix de la communauté mondiale, d'où les interrogations pour savoir pour quelle raison le maréchal opte pour la guerre. Le maréchal Haftar pourrait être soutenu dans la guerre par nombre de pays occidentaux et arabes, disent des politiciens, qui accusent les Emirats arabes, la France, et Washington de cautionner le maréchal.