La sélection algérienne de football devra donner la réplique à son homologue du Malawi avant la CAN 2019. La FAF est en contacts très avancés avec son homologue du Malawi, a-t-on appris, jeudi, d'une source digne de foi. Une autre proposition émane de la Fédération sud-africaine, mais aucun accord n'a été trouvé sur le lieu de la rencontre. Les Sud-Africains veulent en découdre avec les Verts en Egypte et le sélectionneur national, Djamel Belmadi, s'y est opposé, d'après la même source. La FAF a trouvé jusque-là un seul sparring-partner pour les Fennecs, les Aigles du Mali en l'occurrence. «Le programme de préparation pour la CAN est quasiment ficelé et il sera rendu public dans quatre ou cinq jours», a annoncé le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, favorable au retour de Madjid Bougherra et à la venue du buteur de Montpellier, Andy Delort. «Le dernier mot revient bien évidemment à Belmadi», a précisé Zetchi. Rien de nouveau dans le dossier d'Alcaraz Le président de la FAF a révélé, d'autre part, que Madjer et son staff coûtaient un milliard de centimes par mois, comme il a démenti la rumeur faisant état de l'indemnisation de l'ancien sélectionneur national, l'Espagnol Lucas Alcaraz. «Le dossier d'Alcaraz est toujours au niveau de la FIFA. On n'a déboursé aucun centime dans cette affaire mis à part les salaires d'Alcaraz. Même si le verdict de la FIFA nous est défavorable, on aura le droit à un recours au niveau du TAS», a expliqué Zetchi qui a renouvelé, par ailleurs, sa confiance au très contesté Mokhtar Amalou, le chargé des désignations des arbitres pour les matches, tout en promettant une restructuration au niveau de la CFA, surtout qu'il n'est «pas du tout satisfait» de l'arbitrage.