Moussa Messaour vient d'être élu à l'unanimité nouveau président de la Confédération africaine de power lifting (CAP) pour quatre ans, à l'issue du congrès électif tenu à Potchefstroom (Afrique du Sud), en marge des championnats d'Afrique (hommes et dames, juniors-seniors). Messouar Moussa a été membre fondateur de la Fédération algérienne de body-building, fitness et powerlifting (FABFB) où il est aujourd'hui président. Qu'avez-vous à dire après votre élection à la tête du CAP ? C'est une fierté pour moi et pour l'Algérie. Etre élu à la tête de cette instance m'encourage à travailler sans relâche pour le bien de cette pratique, c'est aussi l'acheminement des efforts consentis dans le développement du power-lifting en Algérie. Qu'est-ce qui a fait que vous soyez le seul candidat ? Il y avait le retrait de l'ancien président de l'instance le Sud-Africain Alain Ferguson, mais surtout, le fait que l'Algérie domine dans le domaine du power-lifting et du bodybuilding. tout cela a joué en ma faveur. Quelles sont les priorités pour vous ? C'est d'abord le développement de cette pratique sportive encore méconnue du public. Aussi, augmenter le nombre de compétitions. Selon certaines sources, le prochain championnat d'Afrique se tiendra en Algérie, est-ce vrai ? Tout à fait. D'abord, il aura lieu en octobre 2017. Il faut souligner aussi le transfert à Alger du siège de la Confédération africaine de power lifting (CAP. En marge de cette assemblée générale, il y a eu le championnat d'Afrique. quelle a été la prestation de nos body-builders ? En marge du congrès et de l'assemblée générale, tenus à Potchefstroom (Afrique du Sud), il y a eu effectivement le déroulement des championnats d'Afrique (hommes et dames, Juniors/Seniors) qui ont sacré l'Algérie pour la 5e fois consécutive avec 18 médailles (14 or, 3 argent et 1 bronze).