Le réseau routier du centre urbain de Draâ El Mizan laisse à désirer. En effet, plusieurs habitants vivent sous tension à cause de cette situation déplorable. Les travaux de pose de buses d'assainissement qui ont touchés la chaussée passant au quartier Emir Abdelkader n'a pas été remise en son état initial. Un cratère de plus de quatre mètres coupe la route jouxtant le parc de l'APC depuis des mois déjà, sans subir des travaux de réhabilitation. Idem au quartier Malakoff. C'est un chapitre qui nécessite bien un budget conséquent pour rendre les artères et autres ruelles de la ville plus accessibles et plus faciles à emprunter par les automobilistes. Bien que certaines artères aient subi des travaux de bitumage dans le cadre de l'opération de l'aménagement urbain, des carences sont dûment à signaler. Les automobilistes qui ont l'habitude d'emprunter les routes menant à la nouvelle ville ou celle qui fait liaison entre le marché et la poste de la ville ne sont pas au bout de leur calvaire. La route jouxtant le CEM Krim Rabah aussi est dans un état de dégradation avancée. Dès la chute des premières gouttes de pluie, celle-ci se transforme en marécage. Sur le plan drainage des eaux pluviales des voies publiques, le problème est sérieusement posé. Notons par ailleurs que les habitants de la cité Malakoff ont, à maintes reprises, interpellé les responsables locaux afin qu'ils prennent les mesures nécessaires quant à la vente des matériaux de construction près des habitations. " Les nuisances engendrées par la présence d'un vendeur de matériaux de construction près des habitations nous dérange énormément. Nos enfants sont exposés au danger de la circulation des camions de gros tonnage. La nuit, c'est la nuisance sonore. A ce jour, rien n'a été fait malgré nos doléances exposées auprès des autorités locales depuis plus d'une année ", nous dira un jeune, habitant le quartier Malakoff.