La compétence, la force d'influence, la capacité de gestion et d'écoute des hadjis sont les principaux critères arrêtés pour sélectionner les membres de la mission du hadj. C'est ce qu'a indiqué jeudi le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghoulamallah, en répondant à la question orale d'un député relative à ce sujet. «Ces personnes sont en majorité des cadres de la nation choisis par les organismes de l'Etat sur la base de la compétence, de l'honnêteté et de la rigueur», a-t-il ajouté. Le nombre de la mission est de 800 cadres soit un membre pour 50 hadjis. S'agissant de l'emploi des membres de la communauté algérienne établie en Arabie Saoudite dans le cadre de la mission du hadj, le ministre a précisé que «l'une des conditions des autorités saoudiennes est de ne joindre aucun des membres de la communauté nationale à la mission qu'après autorisation en vertu de l'accord signé par les deux pays».