Suite à la publication d'un article paru dans votre édition d'aujourd'hui 23 mars 2010 en pages 1 et 7 intitulé «Cacophonie autour de la constitution du groupe comme partie civile», nous vous prions de publier la mise au point suivante : Contrairement à ce qui a été avancé une nouvelle fois dans votre édition du 23 mars 2010, Sonelgaz précise dans cette seconde mise au point que le groupe ne s'est en aucun cas constitué partie civile dans l'affaire du fonds des œuvres sociales et culturelles des industries électriques et gazières (FOCS). Vérification faite auprès du greffe, Sonelgaz précise par ailleurs qu'aucune convocation ne lui a été adressée pour la présente affaire, en tant que partie civile. Nous vous prions de noter que les prétendues convocations que vous avez publiées dans votre édition d'aujourd'hui portent un numéro différent de l'affaire actuellement enrôlée et dans laquelle les gestionnaires du FOSC sont impliqués. Il est donc manifeste que votre quotidien veut soit nuire délibérément à notre crédibilité en usant de faux, ou fait preuve d'indélicatesse en ne vérifiant pas les informations publiées. Ceci dit, abstraction faite de l'authenticité des documents publiés, nous nous interrogeons sur les voies douteuses qui vous rendent détenteurs de documents dont seules les parties en cause et les juridictions sont censées détenir. Concernant les statuts du FOSC, nous tenons à saluer les efforts que vous avez entrepris obstinément pour essayer de démontrer le contraire d'une lapalissade. Ces efforts auraient certainement porté des fruits si vous n'aviez pas pris comme référence d'anciens statuts (de 2005) qui ne sont plus en vigueur. Nous vous invitons donc cordialement à prendre connaissance des nouveaux statuts du FOSC. Si vous avez déployé votre énergie à chercher la vérité, vous n'auriez peut-être pas remis en cause la qualité juridique du fonds qui n'est autre - encore une fois - qu'une société civile, c'est-à-dire une entité juridique autonome. Enfin et pour votre gouverne, sachez que l'autonomie d'une société n'empêche en rien les actionnaires ou, dans le cas du FOSC, les associés de pratiquer des audits. Auditer est un droit et une mission que peut exercer tout actionnaire ou associé. En conséquence, nous nous réservons le droit de sauvegarder nos intérêts par les moyens légaux.