Une enveloppe de 500 millions de dinars a été allouée pour la réfection de 11 établissements scolaires dans la commune de Aïn Taya, a révélé Abdelkader Rekas, président de l'APC. Tout est mis en œuvre quant à la réussite de la prochaine rentrée scolaire 2010-2011. La réhabilitation de quelques écoles primaires et l'acquisition de nouvelles infrastuctures est une action de grande envergure, a affirmé M. Rekas. Ajoutant que cette action s'inscrit dans le cadre des préparatifs de la prochaine rentrée scolaire 2010-2011. En effet, les 11 établissements dont dispose la commune sont dotés de nouvelles infrastructures, a-t-il précisé. Quant à la réfection de celles-ci, le responsable a révélé qu'une somme de 500 millions de dinars a été allouée pour la réhabilitation de quelques établissements. Ces travaux ont ainsi touché les cours, les clôtures, les sanitaires ainsi que les salles de classe dégradées, a-t-il expliqué. «ça va permettre d'améliorer les conditions de scolarisation pour nos élèves», dira M. Rekas. D'autres actions ont été mises en œuvre, a souligné l'élu. Il s'agit entre autres de l'opération d'extension dont ont bénéficié deux établissements primaires à savoir celui sis au quartier Annasr dont une enveloppe financière estimée à 800 millions de dinars a été allouée. De même pour l'école Hassiba Ben Bouali. Pour les besoins de la restauration, l'APC en question a réservé une enveloppe financière dépassant les 260 millions de dinars, a estimé M. Rekas pour la réalisation de deux nouvelles cantines où les travaux ont déjà été entamés, il y a trois mois. Celles-ci s'ajoutent aux trois cantines réparties sur les établissements primaires : Ali Amari du quartier Diar Algherb, Abdelkader et Houari Boumediene sises, quant à elles, à Hai Erraml. S'agissant du transport scolaire, le responsable déplore le déficit dont souffrent les écoliers sur l'ensemble de la commune. Evoquant que sa localité ne dispose que de deux bus seulement. Ces deux engins ne peuvent pas à contenir tous les écoliers, a-t-il expliqué. Et afin de mettre fin à ce problème, M. Rekas lance un appel aux services compétents pour la prise en charge de cette doléance qui constitue un vrai casse-tête pour ces élèves.