Le vent de révolte qui continue de souffler sur des pays arabes est l'œuvre des associations affiliées ou financées par le gouvernement des Etats-Unis, selon un blog d'une internaute citant des sources fiables. Dans son blog, elle lève le voile et explique que «les révolutions du clic» ont toutes été orchestrées par des organisations affiliées aux Etats-Unis. Après la révolution de Tunisie, l'Algérie devait suivre, selon le programme de ces organisations à l'origine de ces «révolutions de fleurs». Médias mondiaux aidant, avec «la complicité» de certaines chaînes satellitaires, notre pays devait inévitablement suivre et sombrer dans un chaos. Drapeau national montré, des chants 1, 2, 3. Ghoudwa (demain) l'Algérie, alors que sur Twitter, les activistes high tech, telle une armée aux ordres, reprennent le cri de guerre «Algeria next». Le décor a été ainsi planté pour une révolution chez nous menée par des associations financées par le NED ( National Endowment Agency Organisation), organisation affiliée au gouvernement américain, dont le but est de diffuser la liberté et la démocratie (version America) dans le monde, selon la même source, qui précise que NED a donné de l'argent à des associations algériennes connues, telles que la LADDH, le Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie (CFDA), et à travers Solidarity Center, elle finance le syndicat du Snapap. Sous la bannière de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), ces associations épaulées par le RCD ont tenté d'organiser des marches à Alger. Maîtres de la manipulation, les activistes affiliés à cette organisation et leurs contacts avaient même fait circuler la fausse rumeur selon laquelle internet était bloqué en Algérie ! Même logo (poing fermé), même slogan («Pouvoir dégage») et même scénario brandis lors des révolutions tunisienne et égyptienne ont été vus à Alger lors des tentatives de marches. Les mêmes slogan et logo Dans l'affiche qui devait servir de propagande à la marche du 12 février, on retrouve le même logo et le même slogan qui, selon le blog, proviendraient de l'association OTPOR, qui est un mouvement de jeunes activistes apparu en 2000 en Serbie dans le but de faire tomber le régime de Milosevich, une révolution financée par le NED. Cette révolution a été exportée par la suite pour donner une série de révolutions qu'on appelle les révolutions de couleurs ou des fleurs. En Géorgie (révolution des roses), en 2003 avec le groupe de résistance civique Kmara, puis en Ukraine (révolution orange) en 2004 avec le groupe de résistance Pora… avec toujours le même logo. A côté du NED, d'autres organisations made in USA, dont l'ONG américaine Freedom House qui a engagé deux cadres du «Centre pour la résistance non violente», Aleksandar Maric et Stanko Lazendic, comme conseillers en Ukraine, active dans le même but. Cette ONG a pour objectif d'exporter les valeurs américaines et son président actuel, James Woolsey, a été directeur de la CIA de 1993 à 1995. Ainsi, il apparaît clairement que cette série de révolutions a été guidée par les Etats-Unis. Pour plus d'explication, le blog est revenu sur la révolution de «lotus» en Egypte, pour dévoiler encore que la «jeunesse du 6 avril» est un groupe de jeunes activistes qui fait partie de l'AYM (Alliance for Youth Movement) américaine dont le but est d'identifier, de connecter et de supporter de par le monde des jeunes activistes qui utilisent la technologie dans le but de s'organiser pour provoquer un changement social. Grâce à cette organisation, ces jeunes, «identifiés», ont bénéficié d'entraînement pour apprendre à utiliser la technologie (Facebook, Twitter…) pour changer le monde… par l'organisation d'opérations de désobéissance civile dans des pays sous régime totalitaire… selon les USA. Parmi les jeunes Egyptiens, un certain Wael Ghonim, qui est le responsable marketing de Google pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord et proche de M. El Baradei. Ce jeune est l'un des quatre administrateurs de la première page Facebook, qui est devenu un siège virtuel pour le mouvement de protestation, selon un collaborateur dans l'opposition politique. M. Ghonim a également mis en place le site officiel de la campagne pour le leader de l'opposition, Mohamed El Baradei et s'est porté volontaire en tant que consultant technique pour les autres groupes d'opposition, selon Ziad Al Alimi, un haut conseiller de M. El Baradei, dont les principaux conseillers sont Brzezinski, Armitage et Shimon Peres. Grâce à cette organisation, ces jeunes, «identifiés», ont bénéficié d'entraînement pour apprendre à utiliser la technologie (Facebook, Twitter…) pour changer le monde… par l'organisation d'opérations de désobéissance civile dans des pays sous régime totalitaire… selon les Etats-Unis. Le fondateur de cette organisation est un certain Jared Cohen, ex-conseiller de Condoleezza Rice… et directeur de Google Ideas.