Vahid Halilhodzic n'est pas sur la même longueur d'ondes que le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, concernant les objectifs de l'EN à la CAN 2013 et sur son avenir avec les Verts. «Je peux partir quand je veux. Ça dépend de moi, pas des résultats», affirme Halilhodzic, en réponse à Raouraoua qui a déclaré récemment qu'il ne peut pas quitter l'EN sans l'accord de la FAF. Concernant le vœu du président de la FAF de faire partie du carré d'as à la CAN 2013, Coach Vahid a indiqué que «les dirigeants se comportent parfois comme des supporters». «Moi, je n'obéis pas aux présidents et aux dirigeants, j'ai ma propre opinion», a-t-il ajouté. … et s'attend à un malaise chez les Tunisiens Halilhodzic s'attend à un malaise au sein de la sélection tunisienne, premier adversaire de l'EN à la CAN 2013. «Le sélectionneur tunisien peut provoquer pas mal de dégâts dans le groupe, en enlevant trois joueurs de l'équipe avant la CAN. C'est à cause de ça que j'ai choisi rapidement les 23», a expliqué Coach Vahid, qui ne compte pas envoyer d'émissaires pour superviser les Tunisiens, les Togolais et les Ivoiriens lors de leurs matches de préparation. «Je préfère visionner moi-même les cassettes de ces matches», a-t-il révélé.