Le président du MSP, lors de sa virée à Bordj Bou-Arréridj, a donné l´air de douter de la décision de son parti, à moins qu´il ne se soit agi de stopper l´hémorragie humaine constatée en faveur des mouvements El Islah et Wafa. Bref, il est revenu longuement sur les «raisons» qui ont poussé le MSP à intégrer l´alliance présidentielle alors que ce parti a connu le creux de la vague sous le règne de Bouteflika.