Des logements d´astreinte dans le secteur de l´éducation sont indûment occupés. Les directeurs de certains établissements n´y ouvrent même pas droit. C´est le cas au CEM Bachir-El Ibrahimi de Bourouba où les parents d´élèves protestent contre l´occupation de ces logements par des personnes étrangères au secteur. Le même cas a été relevé au niveau de l´école primaire du 18-Février à Bab Ezzouar, classée première au niveau de la capitale sur le plan des résultats. En effet, les deux logements d´astreinte sont occupés l´un par un retraité du secteur, ce qui pourrait être acceptable, alors que le second est squatté par une employée de l´APC de Bab Ezzouar. Malgré la décision du directeur de l´éducation d´accorder le logement à la directrice de l´établissement, le maire de la ville oppose à chaque fois son veto.