Le gouvernement libyen a donné mardi deux semaines aux milices armées pour quitter Tripoli, sous peine de fermeture de la capitale à la circulation, dans un communiqué reçu parles médiats. Si le 20 décembre, «les milices ne quittent pas la ville, la population de Tripoli et le gouvernement fermeront la ville à la circulation», a indiqué le bureau du Premier ministre Abdel Rahim al-Kib.