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Le choc des mots et la défaite du vivre-ensemble
ISLAMO-FASCISME
Publié dans L'Expression le 18 - 02 - 2013

En 2012, les actes islamophobes envers des institutions ou des individus ont bondi de 38% par rapport à 2011.(...)
«C'est une maladie naturelle à l'homme de croire qu'il possède la vérité.» B.Pascal
Un mot, un seul a, une fois de plus, plongé les musulmans de France dans un désarroi. Il s'agit de la phrase prononcée par le ministre de l'Intérieur et des Cultes traitant les assassins de l'avocat tunisien d'islamo-fascistes. Il est vrai que la doxa occidentale forge en tant que de besoin des concepts pour qualifier d'une façon définitive telle ou telle situation. Souvenons-nous des concepts d'islamistes modérés, des différentes révolutions plus ou moins parfumées...
Qu'est-ce que le fascisme?
Nous avons voulu savoir ce que c'était le fascisme et si cette maladie était propre à l'islam ou si toutes les religions, à des degrés divers, étaient sujettes à ces dérives. «Le fascisme est une conception religieuse de la vie, dans laquelle l'homme est perçu dans son rapport immanent à une loi supérieure, à une volonté objective, qui transcende l'individu et l'élève au rang de membre conscient d'une société spirituelle.» (1)
Souvenons-nous de Mussolini et du rapport étroit qu'il entretenait avec l'Eglise. Plusieurs évêques s'accommodèrent du fascisme. Cela va même plus loin, Jean-Paul II a béatifié un ami personnel de Mussolini. Dans les années 1930, fascisme, nazisme et christianisme entretenaient des relations. L'Eglise catholique a toujours affirmé que Pie XII avait contribué à aider les juifs cachés dans des institutions religieuses,et avait gardé le silence pour les protéger. Le débat historique a rebondi depuis que Benoît XVI a signé en décembre 2009 le décret ouvrant la voie à sa béatification. «La recherche sur la période Pie XII a généré plus de deux millions de documents sur les prisonniers de guerre. Intitulée Lux in arcana (Lumière sur les secrets en latin). Y est également exposé un rapport du nonce Francesco Borgongini-Duca après avoir visité, en 1941, sept camps de concentration en Italie. On y découvre également une lettre, envoyée en 1942, où les détenus remercient le pape pour la fourniture de vêtements et son ́ ́intérêt pour (leur) bien-être physique, spirituel et moral». Rien n'y fit, le pape reste toujours diabolisé. S'agissant du judaïsme, c'est surtout le sionisme qui eut par son engagement, un comportement fasciste. On ne sait pas, par exemple, que le sionisme était allié au nazisme qu'il a défendu, voire soutenu financièrement. L'histoire du sionisme - en grande partie dissimulée - est sordide. Mussolini fournit aux escadrons du mouvement de jeunesse des sionistes révisionnistes, le Betar, des chemises noires pour rivaliser avec ses propres bandes fascistes. Lorsque Menahem Begin devint le dirigeant du Betar, il préféra les chemises brunes des bandes de Hitler, un uniforme que Begin et les membres du Betar portaient dans tous leurs meetings et rassemblements - au cours desquels ils s'accueillaient, ouvraient et clôturaient leurs réunions par le salut fasciste.»(2)
«La Fédération sioniste d'Allemagne envoya un mémorandum de soutien au parti nazi le 21juin 1933. La Fédération y notait»... Une renaissance de la vie nationale telle que celle qui se produit dans la vie de l'Allemagne.., doit également se produire dans le groupe national juif. A partir de la fondation du nouvel Etat (nazi) qui a établi le principe de la race, nous souhaitons insérer notre communauté dans l'ensemble de cette structure de façon à ce que pour nous aussi, dans la sphère qui nous est assignée, une activité fructueuse pour la mère patrie soit possible...» (81). Loin de dénoncer cette politique, le congrès de l'Organisation sioniste mondiale en 1933 repoussa une résolution appelant à l'action contre Hitler, par un vote de 240 contre 43.»(2)
«Au moment même où se tenait ce congrès, Hitler annonçait la conclusion d'un accord commercial avec la Banque anglo-palestinienne de l'Organisation sioniste mondiale, qui rompait ainsi le boycott du régime nazi par les juifs à une époque où l'économie allemande était extrêmement vulnérable. On était en plein coeur de la grande dépression et les gens poussaient des brouettes de deutschmarks sans valeur. L'Organisation sioniste mondiale rompit le boycott juif et devint l'un des principaux distributeurs des marchandises nazies dans tout le Moyen-Orient une banque en Palestine ayant pour but de recevoir l'argent de la bourgeoisie juive allemande, avec lequel les marchandises nazies étaient achetées en quantités substantielles. Par voie de conséquence, les sionistes firent venir en Palestine le baron von Mildenstein du Service de sécurité S.S. pour une visite de six mois de soutien au sionisme. Cette visite aboutit à un rapport en 12 chapitres de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande de Hitler, dans DerAngriff (L'Assaut) en 1934, rapport louangeur pour le sionisme. Goebbels commanda un médaillon frappé d'un côté avec la swastika et de l'autre avec l'étoile de David sioniste.»(2)
Le fascisme et l'Islam
On attribue à Hitler, cela reste à vérifier-la parenté du nazisme avec l'Islam Le 28 août 1942, Adolf Hitler lui-même se laisse aller à une spéculation historique: «Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l'influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!), il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l'héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel... Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C'est le christianisme qui les en a empêchés.» Encyclopédie Wiki «La paternité du néologisme «islamo-fascisme» écrit Stefan Durand a été revendiquée dans l'hebdomadaire néoconservateur The Weekly Standard par le journaliste Stephen Schwartz. qui collabore par ailleurs à un site Internet très controversé, FrontPage magazine, de David Horowitz.» L'administration Bush, poursuit Stefan Durand, continue de justifier ses interventions au Proche-Orient au nom de la lutte contre le «fascisme islamique». Ce cadre idéologique permet de ranger dans la même catégorie des mouvements disparates, d'Al Qaîda au Hezbollah en passant par les Frères musulmans. «Ils procèdent par gros concepts, aussi gros que des dents creuses. La loi, le pouvoir, le maître, le monde, la rébellion, la foi. Ils peuvent ainsi faire des mélanges grotesques, des dualismes sommaires, la loi et le rebelle, le pouvoir et l'ange.» En cela, «ils cassent le travail consistant à ́ ́former ́ ́ des concepts à articulation fine, ou très différenciée, pour échapper aux grosses notions dualistes.» En 1977, Gilles Deleuze dénonçait la «pensée nulle» des «nouveaux philosophes» (3)».
«Trente années plus tard, écrit Stefan Durand, ces penseurs toujours «nuls» se retrouvent à l'avant-garde pour propager en France, sur la base de «mélanges grotesques», le concept creux de «fascisme islamique.» On pourrait se contenter de passer outre si ce concept n'avait pas été utilisé publiquement par le président des Etats-Unis, M.George W. Bush, le 7 août 2006, et à l'occasion d'autres discours officiels américains, dans lesquels on regroupait des organisations fort différentes les unes des autres (Al Qaîda, les Frères musulmans, le Hamas, le Hezbollah...), faisant de ces mouvements les «successeurs du nazisme et du communisme». La requalification de la «guerre contre le terrorisme» en «guerre contre le fascisme islamique», et donc l'inscription des mouvements fondamentalistes musulmans dans la lignée de ce qu'on a appelé au XXe siècle, sans distinctions, les «totalitarismes», n'est pas innocente. Elle vise à relégitimer des politiques belliciste, en se fondant sur des amalgames et sur les vieilles ficelles de la «politique de la peur»(3).
L'islamo-fascisme: un concept banal en France
Marwan Muhammad fait un véritable plaidoyer. Plus qu'un déni de démocratie, c'est le testament d'une certaine gauche française qui s'écrit sous nos yeux. Car ce n'est pas uniquement la quête personnelle, mais la montée en puissance d'une gauche raciste et réactionnaire digne des pages les plus sombres du colonialisme. Une gauche de l'inquisition, qui établit de manière arbitraire ce qui relève de la bonne ou de la mauvaise religion. Une gauche de l'exclusion, qui disqualifie les citoyens qui n'auraient pas la bonne couleur idéologique, la bonne appartenance, le bon code vestimentaire. (..)Une gauche qui décomplexe le racisme, le rendant presque acceptable lorsqu'il se cache derrière une laïcité dévoyée, comme une cape de respectabilité pour exprimer une haine grandissante des musulmans. (...) Ainsi, Manuel Valls s'obstine à refuser toute expérimentation du récépissé de contrôle d'identité. (...)Manuel Valls, comme ses prédécesseurs, a fait de l'Islam un fait sécuritaire, en reprenant la sémantique de la menace et en empruntant à l'extrême droite l'idée selon laquelle les musulmans seraient potentiellement des «ennemis de l'intérieur». (...) Dernière sortie en date, sa déclaration de guerre au foulard, doublée d'une ingérence claire dans les affaires politiques de la Tunisie et de l'Egypte. Sur Europe 1 le 7 février, il déclare: «Le voile qui interdit aux femmes d'être ce qu'elles sont restera pour moi et doit rester pour la République un combat essentiel.» Comme plusieurs de ses prédecesseurs, dont Pierre Joxe pour qui la première mission en arrivant au ministère fut de protéger les synagogues et surveiller les mosquées, Manuel Valls semble faire preuve d'une asymétrie totale dans son traitement des communautés, menaçant les uns et faisant allégeance aux autres.(...) Plus récemment, M. Valls a affirmé que les juifs de France «peuvent porter avec fierté leur kippa!», dans une déclaration de dignité qu'il convient de saluer.»(4)
Les musulmans de France vont-ils bientôt devoir raser les murs?
Dans une autre contribution, Nadia Henni-Moulaï journaliste, s'interroge: «Les musulmans de France vont-ils bientôt raser les murs? Après le récent sondage du Monde paru le 24 janvier dernier, la question mérite d'être posée. On y apprend que 74% des Français jugent cette religion «intolérante». Pis, 10% des sondés sont convaincus que «la majorité des musulmans sont des intégristes.» Une part non négligeable de Français rejettent, n'ayons pas peur des mots, l'Islam. Et avec les 4,1 millions qui le représentent, à savoir les musulmans.»
Qui façonne l'opinion publique poursuit-elle? Qui peut porter aux nues une figure anonyme un jour et la jeter aux oubliettes, le jour d'après? Qui peut, à coup de concurrence de mots-clés, traiter la même information quitte à rester superficiel? Vous l'aurez compris. Les médias mainstream portent une lourde responsabilité dans l'image de l'Islam en France. Et si huit Français sur dix sont persuadés que l'Islam tente «d'imposer son mode de fonctionnement aux autres», c'est aussi qu'on leur fait croire. (...) En 2012, les actes islamophobes envers des institutions ou des individus ont bondi de 38% par rapport à 2011.(...) S'il y a de l'islamophobie, c'est que les musulmans le cherchent bien.Après, le voile, véritable catalyseur, les affaires vont alors se multiplier. (...) Immigration, sifflement de La Marseillaise, laïcité. Le débat sur l'Identité nationale tombait à point nommé. Sauf qu'il va très vite déraper. (...) La caricature fait vendre. La caricature fait élire, parfois. Sarkozy l'a appris à ses dépens.»(5)
Cela va même plus loin, en bon représentant de l'Islam de France, le Cfcm avait jugé les propos de M.Copé sur le pain au chocolat «islamophobes» décidant dans la foulée d'intenter une action en justice. Une plainte finalement maintenue début janvier. Puis retirée. Puis à nouveau maintenue avant d'être finalement annulée. Avec aplomb, le président de l'UMP... Jean-François Copé a affirmé mercredi 9 janvier n'avoir «présenté aucune excuse au Cfcm».
Pourtant, d'autres voies s'élèvent et appellent à la pondération. Le conseiller d'Etat, Thierry Tuot a remis au Premier ministre, Jean-Marc Hérault, un rapport sur la refondation des politiques d'intégration. A travers ce rapport, un bilan désastreux de la politique d'intégration y est dressé. Le rapport explique également que l'Islam n'est pas un problème, et que ses adeptes devraient à l'inverse être bien traités. Au-delà des nombreuses carences soulignées par le rapport en matière de politique d'intégration, le conseiller d'Etat propose des réformes, et émet des constats sur l'Islam plutôt surprenants. A l'heure où la sphère politique a tendance à montrer du doigt l'Islam comme responsable de nombreux maux, il souligne la nécessité d'en finir avec la polémique autour de l'islam «qui pollue le débat public». Il affirme ainsi dans le rapport:
«Aucune religion pratiquée sur le territoire ne menace la République, restons sérieux, inutile donc que la République la menace!». Et ajoute plus loin: «Laissons à l'Islam (aux Islams, nous n'avons pas à trier) toute sa place de grande religion, laissons son culte se déployer, respectons la pleine liberté de ses croyants.»(6)
Dans une interview accordée à Paris Match, le ministre de l'Intérieur a appelé les Français à se mobiliser et à dénoncer les musulmans qui pratiqueraient un «Islam sectaire». «La prévention du terrorisme passe aussi, avez-vous dit, par la mobilisation des Français. Qu'entendez-vous par «mobilisation»? Des dénonciations?», demande Paris Match au ministre, qui répond: «Je suis frappé d'entendre depuis quelques jours, dans les médias, nombre de témoignages de personnes qui parlent de proches, tombés dans cet islam sectaire. Donc, oui, j'en appelle à la responsabilité des parents et des citoyens.» «L'appel à la dénonciation, cela peut aussi amener à certaines dérives...», relance Paris Match. «C'est évident, mais le témoignage sous le contrôle de la loi ou du juge peut être précieux», répond Manuel Valls. (...) Sous l'occupation, les citoyens français de confession juive étaient dénoncés auprès des autorités via des courriers (...)» (7)
Pourtant, même à l'échelle du Conseil de l'Europe, les musulmans ne font pas peur. Dans un rapport sur la situation des «printemps arabes» on lit: «L'intérêt de l'UE réside dans la prospérité et la stabilité de leurs voisins du Sud, En tout état de cause, plusieurs diplomates ont affiché leur optimisme, estimant que le «processus démocratique prend du temps. Il faut juste de la patience». «Il ne revient pas à l'UE de dire ce qui est bien ou mauvais. Il faut différencier entre l'islam politique et l'islamisme radical, déclare ainsi un diplomate européen, qui estime que l'Europe ne considère pas l'Islam politique comme une menace.»(8)
Les musulmans de France doivent savoir qu'ils sont dans un pays de culture de tradition et de religion chrétienne. Pour les pratiquants, ils doivent éviter l'ostentation. Ils sont en droit de revendiquer la laïcité, toute la laïcité rien que la laïcité. C'est cela le vivre-ensemble à l'ombre des lois de la République équidistante des religions.
1. http://www.scienceshumaines.com/la-religion-fasciste_fr_3182.html
2. http://www.adecaf.com/geno/pales/pales/
Sionisme%20et%20fascisme.pdf
3. Stefan Durand, Fascisme, islam et grossiers amalgames Le Monde Diplomatique 11 2006
4. Marwan Muhammad http://www.foulexpress.com/2013/02/la-verite-sur-manuel-valls/
5. Huffington post http://www.mleray.info/article-les-musulmans-de-france-vont-ils-bientot-devoir-raser-les-murs-115233884.htmll
6. Oum Michket Ajib.fr 8 février 2013 http://www.islamophobie.net/rapport-annuel
7. http://www.ajib.fr/2012/10/manuel-valls-islam/
8. http://www.lorientlejour.com/category/%C
3%80+La+Une/article/800267/L%27Europe_ne_considere_pas_l%27islam_politique_comme_une_menace.html


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