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Un pays raciste qui ne dérange que les Palestiniens
ISRAËL
Publié dans L'Expression le 19 - 04 - 2007

«A une époque où certains fabriquent des puces, vous, vous cherchez des poux.» Thomas Friedman, célèbre éditorialiste du New York Times s'adressant aux Arabes
Une majorité de juifs israéliens favorable à l'apartheid. Selon une étude d'opinion réalisée par le Center for the Campaign Against Racism, publiée le 20 mars 2007: pour la culture: 37% des juifs israéliens pensent que la culture arabe est inférieure à la culture juive. Lorsqu'ils entendent parler arabe, 50% des juifs israéliens ressentent de la peur et 31% de la haine. 41% des juifs israéliens en faveur d'une ségrégation. Le sondage révèle la présence d'un sentiment anti-arabe largement répandu. Une enquête d'opinion faite auprès des juifs d'Israël sur leurs attitudes envers leurs concitoyens arabes a montré que le racisme est répandu, qu'un grand nombre de juifs prônent la ségrégation et sont en faveur des politiques encourageant les Arabes à quitter Israël. L'enquête constate que plus des deux tiers de juifs refuseraient de vivre dans le même bâtiment qu'un Arabe. Presque la moitié des juifs n'admettrait pas un Arabe dans leur maison et 41% veulent la ségrégation dans les loisirs. L'enquête montre également que 40% des juifs d'Israël croient que «l'Etat doit soutenir l'émigration des citoyens arabes», politique préconisée par quelques partis d'extrême droite en campagne pour les élections générales de la semaine prochaine. Selon Bachar Ouda, directeur du centre, le «racisme est en train de se banaliser. Quand les gens parlent du transfert des Arabes [expulsion] ou quand ils comparent les Arabes à une bombe démographique, personne n'élève la voix contre de telles déclarations. C'est un phénomène inquiétant. Le temps est venu pour la population juive, qui a subi le racisme dans sa chair, de se réveiller et de modifier sa façon de penser et d'agir.» La même enquête montre que 63% des Israéliens juifs considèrent leurs concitoyens arabes comme une menace «démographique et sécuritaire pour l'Etat». Environ 18% indiquent qu'ils ressentent de la haine quand ils entendent quelqu'un parler en arabe et 34% sont d'accord avec l'affirmation que «la culture arabe est inférieure à la culture israélienne».
Un carburant
Un parlementaire israélo-arabe, Taleb El-Sana, a dit que les enquêtes qui mettent à jour l'antisémitisme dans d'autres pays amènent toujours une frénésie de dénonciations de ces derniers par les Israéliens. «Pourtant quand il [l'antisémitisme] se produit chez eux, ils restent tranquilles, et c'est pourquoi c'est une double faillite: ils sont racistes, et ils n'essayent pas non plus de s'attaquer à leur propre racisme.» Quelques Israéliens ont expliqué que les attitudes hostiles envers les Arabes ne sont pas du racisme mais le produit des années de conflit et des différences religieuses; mais Ahmed Tibi, un autre parlementaire arabe, a indiqué que le racisme israélien était le carburant de la politique israélienne. Selon lui, «de façon générale, le racisme paie en Israël parce que le raciste n'est pas sanctionné et que le racisme est toujours expliqué par un besoin de sécurité et comme un mécanisme de défense. Les racistes ont depuis longtemps quitté la rue pour s'asseoir sur les bancs du gouvernement.» Les partis de l'extrême droite en campagne pour les élections générales de la semaine prochaine en Israël, ont inscrit dans leurs plates-formes politiques des politiques significativement anti-arabes. Le parti d'Avigdor Lieberman, Yisrael Beiteinou, préconise de modifier la frontière pour placer environ 500.000 Arabes israéliens à l'intérieur d'un Etat palestinien.(1). Pourtant, les Juifs ont eu à souffrir dans leur chair de cette plaie du racisme et de l'antisémitisme. Pour l'histoire, en 1899, dans son plus célèbre ouvrage, Die Grundlagen des neunzehnten Jahrunderts (La Genèse du XIXe siècle: 1913), Houston Stewart Chamberlain, l'un des principaux théoriciens de l'antisémitisme pangermaniste et du racisme biologique, gendre de Wagner qui fut l'un des inspirateurs de Hitler, caractérise ainsi les Juifs dans le long chapitre qu'il consacre à «l'avènement des Juifs dans l'histoire occidentale»: Sachons reconnaître avec quelle maîtrise, ils [les Juifs] utilisent la loi du sang pour répandre leur domination: la souche principale reste sans tache, pas une goutte de sang étranger ne s'y infuse - ne lit-on pas dans la Thora: Le bâtard n'entrera point dans la maison de Iaveh, même sa dixième génération n'y entrera point (Deutéronome XXIII, 2)? De fait, ce sondage ne fait donc que confirmer ce qui était déjà connu depuis toujours mais que la presse a tenté d'étouffer. On l'aura compris, cette enquête est passée pratiquement inaperçue dans tous les journaux bien-pensants qui se piquent de gauchiser, à l'instar du Nouvel Obs et du désormais banal Charlie Hebdo prompts à «dégainer» leur fusil à fiel s'agissant des caricatures sur Mahomet au nom de la liberté d'expression. Voyons comment est structuré le racisme en Israël et comment est-il conforté en plein XXIe siècle sans que personne ne s'en émeuve pas, même ceux qui tirent sur tout ce qui bouge, tous les Finkielkraut, B.H.L. qui s'en est allé humaniser au Darfour, les Pierre André Taguieff qui se voilent la face et font preuve d'une coupable amnésie s'agissant des méfaits de l'Etat hébreu à l'endroit de la condition humaine. Souvenons-nous que pour avoir dénoncé, dans un appel publié par Le Monde le 17 juin 1982, le racisme et l'expansion sans fin d'Israël, Roger Garaudy a été mis à l'index par les médias sous influence du lobby sioniste. Dans un livre courageux les Chemises jaunes, Simon Epstein décortique la percée du mouvement fasciste créé par le rabbin Kahane: mouvement d'extrême droite raciste israélien Kach. L'auteur, israélien et qui se définit lui-même comme «un sioniste très radical, mais de gauche», a scandalisé en comparant le Kach au fascisme et au nazisme, et le livre est sorti au moment de l'assassinat à New-York du rabbin Meir Kahane, fondateur du parti Kach. Ecoutons-le: Quand Meir Kahane a été élu à la Knesset en 1984, cela m'a posé un grave problème personnel. Je ne pouvais tolérer de continuer à étudier le fascisme chez les autres alors que j'avais sous les yeux un fascisme qui se développait chez moi, dans mon pays. J'ai décidé de me lancer à fond dans l'étude du phénomène. Le Kach a toutes les caractéristiques des mouvements fascistes. Depuis les signes extérieurs comme l'uniforme (les chemises jaunes) jusqu'au culte du chef en passant par l'idéologie raciste et le langage brutal, parfois ordurier.- La première raison, c'est que le racisme est un phénomène universel. Il n'y a aucune raison qu'Israël, qui est un pays comme les autres, en soit protégé. Le racisme existait en Israël, mais de manière diffuse, cachée. Il n'avait pas d'expression politique. Kahane a été le premier. L'argent lui vient essentiellement des Etats-Unis où Kahane -qui était américain- collectait régulièrement dans les milieux intégristes juifs. Il y a d'autres mouvements qui, sans se placer directement sur le terrain du racisme, ont le même programme. Ils ne traitent pas des Arabes de chiens, comme le Kach, mais ils ont un programme fondé sur leur expulsion. (2).(3). Une autre dénonciation du racisme nous vient d'une Juive athée: écoutons-la: «Si j'appartenais, écrit Danielle Bleitrach, à une quelconque organisation, sans doute je n'oserais pas engager ses membres dans cette position, mais étant désormais un individu libre de toutes attaches, j'affirme qu'il n'y aura de solution qu'à travers la suppression de l'Etat d'Israël, de l'entité étatique qui, aujourd'hui, fait la démonstration de sa nocivité pour tout le monde, pour les Palestiniens, pour les Juifs de la région et ceux du monde entier. Comme je revendique le droit pour tous les être humains à jouir de la paix, de l'absence de discrimination. Ce combat de toujours contre le racisme et l'antisémitisme me pousse désormais à lutter contre l'Etat d'Israël comme j'ai lutté en son temps contre l'Afrique du Sud, Etat de l'apartheid». Danielle Bleitrach: Il faut en finir avec l'Etat d'Israël, Millebabords 15/07/2006.
Atteinte au sionisme
A titre d'exemple, récent, l'entrée du parti d'extrême droite, Yisrael Beiteinu d'Avigdor Lieberman, dans la coalition gouvernementale en Israël, en novembre 2006, a provoqué la démission du ministre travailliste des Sciences et de la Technologie, Ophir Pines-Paz. Cependant, après de longues hésitations, on se souvient que le Parti travailliste israélien avait décidé de se maintenir au gouvernement tout en posant un geste qui le distingue de l'extrême droite. Il a donc désigné un Arabe, Raleb Majad, en remplacement du ministre démissionnaire. Immédiatement le Yisrael Beiteinu de l'extrême droite a mis en demeure le Premier ministre, Ehud Olmert, de refuser cette nomination. Pet a dénoncé «une atteinte mortelle contre le sionisme», soulignant que la présence sans précédent d'un non-juif au gouvernement remettait en cause le caractère juif de l'Etat d'Israël. Cette polémique fait apparaître des conceptions contradictoires et antagonistes du sionisme. Pour la majorité des Israéliens juifs, le sionisme est une idéologie raciste et les ressortissants arabes israéliens ne sauraient être autre chose que des citoyens de seconde catégorie.(4). On se souvient aussi qu'une vive polémique s'est développée aux Etats-Unis après la parution du livre de l'ancien président Carter, Palestine: la paix, pas l'apartheid! Répondant à ses détracteurs juifs, le politicien et précheur baptiste a circonscrit son propos. Il a maintenu sa dénonciation de la situation dans les territoires occupés et a retiré ses critiques relatives au régime politique en Israël même. À défaut de calmer l'Aipac, ce compromis semble avoir satisfait l'électorat juif états-unien. Ecoutons-le: «J'ai dit clairement dans le livre, et dans ma réponse à ces rabbins, que le système d'apartheid prévalant en Palestine n'est pas basé sur le racisme, mais sur la convoitise d'une minorité d'Israéliens pour les terres palestiniennes et sur la répression des protestations qui en résultent, et qui impliquent la violence....J'ai dit très clairement que je n'ai jamais clamé que les Juifs étatsuniens contrôleraient les médias, mais j'ai réitéré que le parti pris écrasant en faveur d'Israël a pour origine des chrétiens comme moi-même, à qui on a enseigné depuis l'enfance à honorer et à protéger le peuple élu de Dieu, duquel est issu notre sauveur, Jésus Christ».(5)
Il est vrai, comme l'écrit Khelifa Mahieddine, que le racisme anti-arabe et anti-musulman trouve facilement à s'extérioriser aussi bien dans la rue que dans les médias. Il en est tout autrement du racisme anti-juif qui ne peut s'exprimer ouvertement que dans les cercles très fermés des White Anglo-Saxons Protestants (WASP). La conviction est, en effet, bien répandue aux Etats-Unis comme dans le reste du monde, que le lobby, comme l'appellent désormais les Américains, influence de façon déterminante la politique étrangère des USA au Moyen-Orient; George Bush père ne s'est, d'ailleurs, pas privé d'exploiter ce prétexte en 1991, lors des débats sur la garantie de l'emprunt de 10 milliards de dollars demandés par Israël, en déclarant qu'il n'était «qu'un petit homme solitaire, face au millier de lobbyistes qui avaient envahi le Congrès»(6).
Il vient que cette politique raciste n'a pu perdurer sans un soutien inconditionnel des Etats-Unis. Le soutien à l'époque, en 2004, de George Bush à Sharon n'a-t-il pas été vu par l'ambassadeur israélien à Washington comme plus important que la Déclaration de lord Balfour promettant une seconde fois- après Dieu- la terre palestinienne aux Juifs? Ainsi, on dit que l'Aipac (l'American Israel Public Affairs Committee) structure la politique étrangère américaine. André Tremblay rapporte les propos suivants: «La plupart des citoyens sont ignorants du fait effrayant que pendant des années notre politique US au Moyen-Orient n'a pas été façonnée par des experts chevronnés dévoués aux intérêts nationaux fondamentaux de l'Amérique.» Paul Findley, membre Républicain du Congrès US, (1961-83):
«Grâce à Dieu, nous avons l'Aipac, le plus grand supporter et ami que nous ayons au monde» Ehud Olmert, le Premier Ministre de l'Israël: «Ou bien je définis la politique sur le Moyen-Orient ou bien c'est l'Aipac qui le fait.» Zbigniew Brzezinski, ancien conseiller à la National Security de l'administration Carter: Personne ne peut comprendre ce qui se passe politiquement aux USA sans être conscient qu'une coalition politique, des principaux groupes pro-Likoud, des intellectuels néo-conservateurs pro-israëliens et des sionistes chrétiens, exerce une influence terriblement forte sur le gouvernement US et ses politiques. Avec le temps, ce vaste lobby pro-israëlien, dont le fer de lance est l'Aipac, a étendu l'ensemble de son emprise sur de grandes parties du gouvernement US, y compris le bureau du vice-président, le Pentagone et le Département d'Etat, en plus du contrôle de l'appareil législatif du Congrès. Il est assisté dans sa tâche par de puissants alliés au sein des deux principaux partis politiques, des grands médias et quelques boîtes à idées (think-tanks) richement financés, comme l'American Enterprise Institute, la Heritage Foundation, ou le Washington Institute for Near East Policy. C'est compréhensible. -Les techniques de l'Aipac sont si efficaces qu'on peut facilement avoir l'impression que c'est «un gouvernement parallèle» à Washington DC. Le 10 mars 2006, deux respectés spécialistes américains, les professeurs Stephen Walt de l'Université de Harvard et John Mearsheimer de l'Université de Chicago, publièrent une étude dans The London Review, intitulée The Israel Lobby and U.S. Foreign Policy au sujet de l'influence disproportionnée que ce lobby d'intérêts particuliers a sur la politique étrangère US. «L'Aipac est l'organisation la plus puissante et la plus connue» d'un lobby pro-israëlien qui fausse systématiquement la politique étrangère US. L'étude concluait qu'Israël avait joué un rôle majeur pour pousser l'administration Bush dans la guerre contre l'Irak(7)
Pour l'honneur de la dignité humaine, il se trouve heureusement des Juifs qui ne cessent, à l'instar de Simon Epstein de Rony Brauman, ancien président de Médecins sans frontière, de Israël Shahak, ancien président de la Ligue israélienne des droits de l'homme, de dénoncer le scandale du racisme une plaie qui nous vient du fond des âges.
1.Chris McGreal. Racisme en Israël The Guardian. 13 avril 2007
2.Françoise Germain-Robin Enquête sur le racisme en Israël. L'humanité.
3.Simon Epstein Les chemises jaunes, chronique d'une extrême droite raciste en Israël, Calmann-Lévy. 1991.
4.Peut-il y avoir un ministre non-juif en Israël? 12 janvier 2007 Reseau Voltaire
5.Jimmy Carter: Adresse aux citoyens juifs des Etats-Unis Reseau Voltaire 26 décembre 2006
6.Khelifa Mahieddine L'influence du lobby juif sur la politique US au Moyen-Orient. Le Quotidien d'Oran 18 et 19 mai 2004.
7.Aipac, droite religieuse et politique étrangère américaine http://www.thenewamericanempire.com/tremblay=1033.htm Alter Info. 26/08/2006


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