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Intelligence et innovation
POUR UN SNAT DU DEVELOPPEMENT HUMAIN DURABLE
Publié dans L'Expression le 17 - 12 - 2015

La richesse du Sahara c'est aussi ce que l'on pourrait faire pour développer l'agriculture
«Il n'y a pas de limite à ce que peut la volonté de l'homme» Ferdinand de Lesseps (Fondateur du canal de Suez)
Cette boutade de Ferdinand de Lesseps est à méditer par les Algériens confrontés à une conjoncture difficile d'assèchement durable de la rente pétrolière, d'une situation internationale délètère du fait d'un partage du monde qui accouche dans la douleur, et ce qui ajoute à la difficulté des changements climatiques qui impacteront certainement notre pays, notamment en aggravant le stress hydrique. C'est peut-être le moment de faire une introspection et nous remettre fondamentalement en question pour évaluer dans le calme et la sérénité ce qui ne va pas proposer des solutions de court terme et se pencher sur le temps long, c'est-à-dire 2030 qui est à nos portes et plus loin encore 2040, 2050.
Justement dans ce cadre, le ministère de l'Aménagement du territoire a pris l'intiative d'organiser les Assises du Schéma national du développement durable. Lundi et mardi ont été tenues, les Assises du Schéma national de l'aménagement du territoire» Nous sommes dans une étape d'évaluation et la tenue de ces assises constitue une opportunité pour évaluer le Schéma national de l'aménagement du territoire (Snat) sur la période 2010-2015», a déclaré dans son intervention M.Ghoul qui a indiqué que l'objectif que se fixent les autorités du pays consiste «à parvenir à un développement durable de nature à permettre au pays de ne plus compter sur les hydrocarbures». Les conclusions sont à saluer. Notamment la création d'un Observatoire de l'aménagement du territoire et l'importance de l'économie de la connaissance.
Qu'est-ce que le Snat?
Nous empruntons au préambule du document rédigé en 2010, les missions suivantes: «Le Schéma national d'aménagement du territoire (Snat) est un acte par lequel l'Etat affiche son projet territorial. Le Snat montre comment l'Etat compte assurer, dans un cadre de développement durable(...)Le Snat intègre dans un contexte de globalisation et de compétitivité au niveau mondial, l'insertion et le rayonnement de l'Algérie dans ses espaces naturels d'appartenance et d'évolution (Maghreb, Euro-Méditerranée, Afrique). Le Snat s'intéresse à une autre échelle du temps: le temps long (20 ans) c'est-à-dire la profondeur temporelle d'une génération. Le Snat repose sur trois fondamentaux avec trois échéances: l'échéance démographique (...) l'échéance économique avec comme corollaire la compétitivité et la mise à niveau des territoires. Elle correspond à la création de la zone de libre échange et l'entrée à l'OMC. L'échéance écologique qui exige la préservation du capital naturel et culturel dans une situation de stress hydrique et de rareté des sols et où la concurrence est de plus en plus forte entre usages et durabilité. Le Snat intervient dans un environnement international caractérisé par: - l'émergence de nouveaux acteurs, - l'émergence d'une civilisation planétaire et polycentrique, - l'insécurité croissante, - le rôle-clé des nouvelles technologies, - le contexte énergétique à l'horizon 2030, - les grands enjeux de l'environnement planétaire et l'enjeu des changements climatiques.» (1) Dans le Snat 2025 on lit aussi: «L'élaboration du Schéma national d'aménagement du Territoire -Snat- est un enjeu national. (..) Il nous appartient désormais de préparer notre pays à affronter dans son organisation territoriale les grandes échéances de demain. Le monde autour de nous continue de changer. L'émergence de nouveaux acteurs économiques, le nouveau contexte énergétique, le rôle toujours croissant des nouvelles technologies, l'insécurité mondiale, l'enjeu des nouvelles émigrations sub-sahariennes, sont autant de défis auxquels nous devons nous adapter.
Le Snat 2025 est mis en oeuvre selon deux phases:
Une première phase 2007-2015: durant laquelle la politique d'aménagement du territoire restera au cours de cette période principalement marquée par l'action volontaire de l'Etat. C'est la phase de mise en oeuvre immédiate du Snat 2025 à travers les 19 Schémas directeurs des grandes infrastructures et services collectifs d'intérêt national qui a déjà commencé. 13
Une deuxième phase 2015-2025: c'est la phase partenariale, durant laquelle, l'Etat ayant mis en place les investissements structurants de sa politique d'aménagement du territoire, jouera de plus en plus un rôle de régulateur et d'arbitre laissant les opportunités d'actions importantes à une gamme plus large d'acteurs.» (2) Pour rappel et par la suite le 3 avril 2011 s'est tenue une conférence et le ministre de l'Environnement de l'époque déclarait que le schéma du Snat repose sur trois fondamentaux avec trois échéances, à savoir l'échéance démographique, l'échéance économique et enfin l'échéance écologique. Le Snat s'articule sur la proximité, place la réparation des multiples agressions subies par les territoires au coeur de la stratégie d'aménagement et d'occupation des espaces, précisant que 21 schémas sectoriels sont adoptés et 17 autres sont en cours.
Le manque de coordination intersectorielle
Le Snat (2010-2030) a été bien rédigé, il contient une mine d'informations, qu'il faut naturellement actualiser. Cependant, y a-t-il un bilan chiffré sans complaisance des réalisations et des problèmes rencontrés dans l'exécution de ce Snat? La question est de savoir ce qui a été fait et est-ce que les 210.000 milliards du plan de développement ont été utilisés en tout ou partie? Durant ces assises caractérisées de l'avis des participants par une totale franchise l'accent a été mis sur les dysfonctionnements. Par ailleurs, pour la première fois dans ces assises a été pointée du doigt la cacophonie inter-département ministériel entravant la mise en oeuvre du Schéma national de l'aménagement du territoire. En effet, si le bilan n'est pas à la hauteur des espérances, la première cause serait due à l'absence de coordination entre les différents secteurs est l'une des contraintes qui entravent la mise en oeuvre du Schéma national de l'aménagement du territoire (Snat), ont relevé les experts qui recommandent d'accompagner ces plans d'outils d'application au niveau local. «Le Snat (2010-2030) a été bien fait, mais il n'a pas été accompagné d'outils d'application de ses schémas directeurs au niveau local pour pouvoir assurer l'intersectorialité», estime Rachid Boukhechem, chercheur à l'Institut national de recherche agronomique d'Algérie (Inraa). L'absence d'intersectorialité a été à l'origine de stagnation et de retards de plusieurs projets de développement ainsi que de l'émergence de certaines problématiques territoriales, selon ces experts. Le professeur Noureddine Messahel, de l'université de Sétif, a cité l'exemple de la réalisation de grands périmètres irrigués (GPI) de 80 000 ha dans l'est des Hauts-Plateaux, prévue par le schéma directeur 2010-2014 et dont les études n'ont pas été élaborées à ce jour, et ce, malgré la mise en service des transferts d'eau. Le morcellement du foncier agricole est l'autre problématique soulevée par les experts qui plaident pour la «sanctuarisation» des terres agricoles notamment celles situées aux alentours des grands centres urbains. Le directeur général de l'Inraa, Foued Chehat, a précisé que le foncier agricole était «sacralisé» par la loi d'orientation agricole, «mais cela n'empêche pas l'existence de beaucoup de passe-droits, y compris dans des zones à haut potentiel», a-t-il dit. Pourtant, dans le même temps les lenteurs qui caractérisent la décision du secteur de l'agriculture par rapport à la distraction de terres agricoles constitue une contrainte sérieuse à l'avancement du programme de développement des énergies renouvelables», estime Baya Belarbi, responsable de l'engineering à Sktm.Concernant les énergies renouvelables, les intervenants étaient unanimes à souligner la nécessité de coordonner entre les différents secteurs.
Dans le précédent Snat il n'y avait pas la moindre allusion à l'économie de la connaissance. Dans ces assises, pour la première fois, il faut s'en féliciter; on parlera dans le thème: «Développement humain durable» de la valorisation des ressources humaines, et la nécessité de les placer au centre de tout projet de développement de l'élément humain, et l'acteur primordial. Pour les participants, «l'heure est à la dynamisation des activités des cinq secteurs locomotives de l'économie nationale que sont l'agriculture, l'industrie, le tourisme, les services et l'économie du savoir», relevant la nécessité de «redéfinir les fonctions des différents espaces nationaux dans le cadre d'une compétitivité territoriale et d'une économie diversifiée et durable».C'est à l'Ecole que devra être éduqué l'éco-citoyen de demain. C'est au lycée que l'on mettra en oeuvre le baccalauréat du Développement durable. C'est à l'université que devront être formés les cadres techniques sur les métiers du Développement durable avec aussi sa dimension humaine
Les villes nouvelles intelligentes
Pour se faire une idée des mutations à l'échelle mondiale nous citons l'exemple à suivre de l'ambition de l'Union européenne pour les villes intelligentes: «Les villes du futur seront différentes des schémas actuels et, qu'apparemment, le Snat va prolonger. A titre d'exemple, la Commission européenne a annoncé un nouveau programme de partenariat pour l'innovation de 365 millions d'euros par an. Ce programme vise à encourager le développement des technologies «intelligentes». Le partenariat européen pour l'innovation (EIP) permettra aux entreprises privées et à l'Exécutif européen de combiner leurs recherches sur l'énergie, les transports et les TIC dans le but de développer un nombre limité de projets approuvés. Les projets pourraient inclure des bus urbains électriques et silencieux qui utiliseraient la technologie numérique, la technologie satellite visant à améliorer le trafic routier, une application smartphone pour réserver des véhicules de location au biocarburant et des points de recharge rapides pour les voitures électriques. La communication de l'UE sur ce programme a qualifié l'amélioration de l'efficacité et du développement durable dans les villes européennes d'engagement essentiel pour les objectifs à l'horizon 2020. Il a été des «capteurs minuscules qui récoltent l'énergie de l'environnement et agissent sur les vêtements, les voitures, les rues et le monde qui nous entoure». «Une ville intelligente, c'est une ville verte.» L'introduction de nouvelles technologies dans les villes pourrait prendre du temps en raison de «la lutte entre les intérêts particuliers et la difficulté de faire tomber les obstacles» dans des secteurs comme les TIC, les transports, l'énergie, la santé la gestion des déchets.» (3)
Les villes nouvelles en Algérie
Il n'est pas dans mon propos de minimiser le travail remarquable de tous ceux qui ont contribué depuis une vingtaine d'années à donner une visibilité au devenir de l'Algérie. Le bilan à faire et dont il faudra tenir compte notamment en matière de nécessité absolue de coordination qui dépasse les logiques sectorielles devra de mon point de vue être complété en tenant compte de la nouvelle donne à la fois interne (manque de ressources pour le financement d'où la nécessité du compter sur soi et de l'imagination pour chercher l'optimum) mais aussi externe pour s'approprier et faire sienne les tendances du futur, notamment en ce qui concerne l'urbanisme, le transport, l'énergie et les contraintes alimentaires dans un contexte marqué par la récurrence des changements climatiques qui devront faire partie de l'équation à résoudre.
Les participants aux assises ont pointé les dysfonctionnements qui pourront être en partie réglés justement par l'Observatoire du Snat qui va jouer, espérons-le, rôle de coordonnateur dans une vision du futur qui intègre le plan d'action de différents ministères, notamment l'Habitat, les Travaux publics, l'Intérieur, les Transports, l'Energie et les Ressources en eau.. Concomitamment, les villes nouvelles devraient être dotées des espaces culturels et éducatifs. On sait que l'importance des pressions sur les ressources naturelles, à l'horizon 2030, au sein des espaces densément peuplés, notamment au nord qui représente 4% du territoire où vivent 63% des Algériens. La concentration de la population et des activités sur le littoral produit des déséquilibres dans l'usage des ressources en eau, les sols et l'ensemble des espaces sont sensibles aux risques majeurs. De ce fait, il était prévu dans ce Snat 2010 la création de Villes nouvelles qui auront trois missions: un levier de desserrement des pressions autour des grandes villes du Nord, un levier de redéploiement du peuplement et des activités vers les Hauts-Plateaux et le Sud et enfin un levier de rééquilibrage de l'armature urbaine et de son organisation spatiale. Il est dit que Les grandes villes vont tripler en 2030 et 30 nouvelles grandes villes moyennes passeront de huit actuellement à 87. Nous notons qu'une période supplémentaire de vingt ans a été proposée en souhaitant que cela ne soit pas une tentation pour différer le plus loin possible des décisions qui se doivent d'être prises actuellement.
Intelligence et innovation
Curieusement, le Sud n'a pas, de notre point de vue, été apprécié à sa juste valeur. Le Sud dans le document Snat n'accueillera selon les prévisions des experts du Snat qu'une seule grande ville! Pourtant, «Le développement du Sud constitue un enjeu spécifique lit-on sur le document du Snat de 2010. Il s'agit plutôt d'une conquête que d'une reconquête car ces espaces n'ont pas bénéficié de programme de développement économique et humain à la mesure des potentiels importants qu'ils recèlent. Le Sud, dont les principaux handicaps sont la dureté du climat et l'accessibilité, possède des potentiels importants à valoriser.»
N'est-il pas possible, alors, d'imaginer que les futurs programmes de logements soient inscrits en priorité pour le Sud? Si seulement 200.000 logements sont construits dans le Sud; c'est au moins une dizaine de villes de 60 à 80.000 habitants à terme qui seront implantés en fonction des périmètres agricoles, du développement du rail, de la transsaharienne, des points d'eau et des centrales d'énergie renouvelable. Nous devons aller vers une transition énergétique, vers le Développement durable qui sera basée sur des états généraux qui doivent aboutir à un modèle énergétique flexible un bouquet énergétique qui mise d'abord sur les économies d'énergie. Chaque calorie exportée devrait correspondre aussi à l'acquisition d'un savoir-faire. «Il est nécessaire de développer à marche forcée les énergies renouvelables, solaire, éolien, géothermie avec 200 sources qui peuvent valablement être valorisées dans les stations thermales. La création de villes nouvelles adossées à des périmètres agricoles irrigués dégorgeront le Nord sur la dorsale In Salah-Tamanrasset longue de 700 km avec la disponibilité de l'eau et de l'électricité renouvelable. C'est donc vers un nouveau schéma d'aménagement du territoire pour les années à venir que nous pourrions envisager en complémentarité avec ce qui a été retenu..
Les changements climatiques sont là. L'avancée du désert peut et doit être freinée. Le Barrage vert devrait être réhabilité avec la nouvelle vision du développement durable. La politique de grands travaux structurants à l'instar pourrait permettre la conquête intelligente du Sud. La richesse du Sahara, ce n'est pas seulement les énergies fossiles, la disponibilité d'une nappe phréatique de 45.000 milliards de m3, c'est aussi et surtout ce que l'on pourrait faire pour développer l'agriculture. La richesse du Sahara c'est aussi l'écotourisme, l'archéologie, les sources géothermiques à vocation multiples. Le système éducatif aura à jouer son rôle dans ce challenge.
1. Snat JO de la Radp n° 61 du 21 octobre 2010
2. Snat 2025
3.Bruxelles dévoile son programme d'innovation des «villes intelligentes» Euractiv 12 07 2012


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