Zetchi a confié la désignation des arbitres à l'ex-officiel Amalou Cette saison 2016-2017 qui était au départ porteuse de sérieux espoirs pour le foot algérien, a malheureusement tourné au cauchemar sans fin pour notre football, au double plan national et international. Notre propos d'aujourd'hui va encore tourner pour la énième fois autour de tout ce qui se passe actuellement au sein de notre football actuel du moment où il ne passe pas un jour, sans que notre sport roi ne soit au coeur de sujets sans fin. Cette année 2017, qui a débuté par un énième échec de notre sélection nationale de football, et suite auquel il a été procédé à un nouveau changement presque radical à la tête de la première instance en charge de notre sport roi, en l'occurrence la Fédération algérienne de football, avec à sa tête un nouveau président en la personne de Kheireddine Zetchi, n'en continue pas moins de défrayer chaque jour la chronique. Cette saison 2016-2017 qui était au départ porteuse de sérieux espoirs pour le foot algérien, a malheureusement tourné au cauchemar sans fin pour notre football, au double plan national et international. Pis encore, malgré l'élection d'une nouvelle équipe fédérale, les éternelles dissensions et désaccords sans fin, ont la peau dure, et provoquent chaque jour un peu plus un profond malaise même au plus haut niveau de notre sphère footballistique. Pour preuve, la commission en charge de l'arbitrage relevant directement de la FAF, est de nouveau au coeur d'un énième problème d'ordre purement relationnel, entre plusieurs parties choisies au départ par Zetchi, pour gérer la future CFA. Une structure fédérale qui a d'ailleurs toujours été, et sans cesse, au coeur de très graves accusations de la part de la plupart des présidents de clubs. Et qui refait encore parler d'elle sous la nouvelle FAF. Messaoud Koussa que Zetchi avait désigné comme nouveau patron des arbitres, ne veut pas collaborer aujourd'hui avec son collègue Amalou, et souhaite par contre travailler avec Bichari. Une histoire de plus à gérer par Kheireddine Zetchi, dont le nouveau mandat à la tête de la FAF, est déjà sérieusement battu en brèche par ses propres collaborateurs directs. Un nouveau malaise auquel il faudra aussi ajouter cette histoire de cumul de fonctions par certains nouveaux membres de la FAF, et qui allonge la longue liste des éternelles «foutaises» qui continue de plonger notre sport roi dans un marasme général, et sans fin, à l'image de cette saison footballistique en cours. Pour preuve, après le retrait de Mohamed Raouraoua, rien n'a vraiment changé, hormis la désignation d'un nouveau sélectionneur national, et le retour à la FAF de Tikanouine, à la tête de la DTN. Pour cause, les mêmes «raisons» qui ont poussé Raouraoua à se retirer de la FAF, sont toujours d'actualités, et nous laissent à penser sérieusement qu'elles feront d'autres prochaines «victimes». Forcément, notre foot fait de «foutaises» sans fin, a fini par gangrener, et surtout par complètement «dénaturer» le sport-roi Algérien. Ce football aujourd'hui très loin d'être sorti de l'auberge où tout le monde a perdu la moindre notion de bon sens.