Djezzy commence à retrouver le chemin de la croissance grâce à un programme de transformation digitale lancé en avril 2015 Avec le soutien du Fonds national d'investissement (FNI) et du groupe international Veon, Djezzy veut être le premier opérateur numérique en Algérie. Djezzy va bien! L'entreprise a arrêté l'hémorragie et entamé un véritable plan de développement pour retrouver la croissance après cinq longues années de blocage où certains attisaient le feu afin de la voir mourir de sa belle mort pour ensuite la récupérer et l'acheter au dinar symbolique. Il n'en fut rien et les lobbies qui misaient sur sa destruction furent déçus. Djezzy commence à retrouver le chemin de la croissance grâce à un programme de transformation digitale lancé en avril 2015. La société a réussi à se redresser au cours des deux dernières années (janvier 2015 - janvier 2017) et elle vise aujourd'hui à assurer la continuité de la reprise opérationnelle. Djezzy veut être le premier opérateur numérique en Algérie, avec le soutien du Fonds national d'investissement (FNI) et du groupe international Veon (ancienVimpelCom). Mais qu'est-ce qui pousse des lobbies, qui se cachent derrière des relais médiatiques connus pour leurs positions hostiles à l'Algérie pendant le printemps arabe, à s'attaquer à l'entreprise et à son président exécutif, Vincenzo Nesci? La première raison est claire. Le redressement de la société donne des résultats. Ce qui ne semble pas plaire à certaines parties. Tout d'abord, Vincenzo a remporté plusieurs combats et même des guerres et non pas des moindres depuis sa nomination à la tête de l'entreprise en 2012. Il a réussi à retirer l'entreprise des mains des partisans de l'arbitrage international en soulignant sa ferme volonté de régler le problème en Algérie. Du coup, la signature des accords de janvier 2015 a été l'illustration de cette détermination à en finir avec les années d'incertitude et pouvoir remettre Djezzy sur le chemin de la stabilité. Deuxièmement, le président de Djezzy, en coopération avec le Fonds national d'investissement FNI, s'attelle à prouver au monde que le choix du gouvernement algérien d'aller vers un partenariat public-privé (PPP) est une option viable dont l'objectif est de relever le défi lié à la construction d'une économie nationale alternative basée sur les TIC. Ajouté à cela, il s'agit de donner à l'industrie nationale des ressources durables afin de bâtir une économie numérique en profitant de l'expertise mondiale d'un partenaire international. Troisièmement, le fait de cibler Vincenzo Nesci, dans ce contexte particulier, signifie que les commanditaires cherchent à faire échouer le processus de transformation numérique engagé par l'entreprise. Ils veulent également torpiller l'expérience du partenariat public-privé et pousser à l'abandon de cette option dans les futurs projets de partenariat dans les télécommunications et dans d'autres secteurs stratégiques que le gouvernement pourrait envisager, tout en privant le Trésor public des 51% des bénéfices de Djezzy, lesquels bénéfices avaient l'habitude d'être pris par l'investisseur étranger avant la prise de participation majoritaire dans l'entreprise par le FNI en janvier 2015. Pendant de nombreuses années, Djezzy a été la poule aux oeufs d'or, mais cet or partait ailleurs. Lorsque le président exécutif de Djezzy a réussi à empêcher l'arbitrage international, en défendant les intérêts de l'Algérie et en évitant au pays le paiement de sommes considérables, et à conduire le processus de transformation, il n'était plus question de le laisser faire. D'où les campagnes médiatiques dont le but est de parasiter la stratégie de développement mise en oeuvre. Une stratégie qui vise à transformer Djezzy d'une entreprise de télécom traditionnelle à une société technologique. Pour ce faire, un programme de recrutement massif a été lancé avec 700 postes à pourvoir, l'ouverture de nouvelles boutiques pour assurer une meilleure proximité avec le client, l'adoption d'une approche commerciale plus agressive visant à généraliser la consommation de la data, le renforcement du partenariat avec les entreprises algériennes, et la création des nouveaux métiers du digital afin de s'adapter au développement rapide de l'Internet mobile. Pour toutes ces raisons, ces lobbies veulent en découdre avec le président exécutif de Djezzy, simplement parce qu'il a toujours été du côté de l'Algérie.