Cinquante-deux migrants sont morts depuis avril dans le désert du Niger, alors que plus de 600 autres ont pu être sauvés, a indiqué mardi l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). "Nous renforçons notre capacité d'aider les migrants vulnérables bloqués dans le nord d'Agadez, vers la frontière Niger-Libye", a souligné le chef de mission de l'OIM au Niger, Giuseppe Loprete, dans un communiqué. Il a affirmé que le sauvetage de vies dans le désert devient plus urgent que jamais, précisant que depuis le début de l'année, "nous recevons des appels fréquents pour sauver des victimes qui s'engagent sur cette route".