Le dernier Bureau fédéral s'est entendu sur un point, à savoir la probable résiliation du contrat du technicien espagnol en cas d'échec au Cameroun et contre le Nigeria. Lors de la tenue du dernier Bureau fédéral de la FAF et quelques jours après, à l'occasion de sa sortie médiatique lors de l'émission sportive Football Magazine sur les ondes de la radio Chaîne 3, le président Kheïreddine Zetchi, a montré des signes d'assurance et de confiance, quant à la polémique qui a surgi au sujet des clauses du contrat de Lucas Alcaraz. L'ex-boss du PAC a même assuré qu'en cas de résiliation du contrat liant la FAF au technicien ibérique, l'instance fédérale ne perdrait pas beaucoup d'argent comme cela a été rapporté par les médias. Ainsi et pour être plus clair, le dernier Bureau fédéral s'est entendu sur un point, à savoir la probable résiliation du contrat du technicien espagnol en cas d'échec au Cameroun et contre le Nigeria. Cela dit, son limogeage coûtera à la FAF pas moins de deux millions d'euros, sans parler des salaires de ses adjoints. L'instance fédérale semble avoir trouvé une faille enfin dans ledit contrat. En effet, il est stipulé dans le document que Lucas Alcaraz devait séjourner deux semaines sur quatre à Alger. En outre, il s'était engagé à organiser un stage des locaux chaque mois avec des tournées dans les stades algériens à l'occasion des matchs de la Ligue 1 Mobilis, pour éventuellement dénicher de potentiels renforts pour l'EN. Deux engagements auxquels a failli l'ex-coach de Grenade et qui pourrait servir à Zetchi pour l'«éjecter». Non seulement, Alcaraz était tout le temps absent, ce qui a fait qu'il était rarement sur les stades algériens afin de superviser les joueurs locaux, mais il n'a, en sus, effectué que deux tournées depuis son arrivée, avec au passage trois stages pour l'EN des locaux avant de disputer la double confrontation face à la Libye et se faire éliminer de la course pour le CHAN 2018. Par conséquent, ce sont justement ces failles-là que compte exploiter Zetchi pour résilier le contrat d'Alcaraz et minimiser au maximum les frais de cette séparation pour laisser place à un départ à l'amiable. Reste à savoir ce qu'en pense le technicien ibérique et surtout si cette démarche sera valable auprès de la FIFA