La wilaya de Tizi Ouzou compte quelque quatre- vingt km de côtes et trois principales stations balnéaires avec Tigzirt, Azeffoun et Aït Chaffaâ. Si Tigzirt recense de belles plages avec la Grande plage, Tassalast et la plage familiale, les nageurs émérites trouveront à Sidi-Khaled de quoi assouvir leur passion. Azeffoun quant à elle offre des plages de sable fin et de galets. Les estivants trouvent notamment leur plaisir au petit paradis. Les criques d'Aït Chaffaâ sont réputées pour leur beauté et sont très recherchées par les amoureux des coins moins populeux. Que dire des endroits très recherchés, soit ceux situés près de Tigzirt soit encore vers Azeffoun et Aït Chaffaâ. Le rouget de roche d'Azeffoun est réputé et il semble que sa chair n'est à nulle autre pareille! Combien sont-ils ces pêcheurs du dimanche qui semblent trouver là leur grand bonheur! Tigzirt et Azeffoun ont souffert d'une certaine publicité disant que ce sont des régions peu sûres. Mais la réalité est que dans ces deux stations balnéaires, le calme et la sérénité règnent en maître. Dire que dans le massif de Mizrana voisine, il ne se passe rien, c'est certainement mentir, mais il faut savoir que les forces de l'ordre ont réellement couvert la région et le moindre mouvement est surveillé. Aussi, cette «vigilance» a-t-elle vraiment réussi à sécuriser Tigzirt. D'ailleurs les estivants oublient et pour leur plus grand bien et profitent réellement des bienfaits de la mer. Il en est de même pour Azeffoun et Aït Chaffaâ. Cette dernière plage et assez remarquable en ce sens qu'elle offre et les plaisirs de la mer et ceux de la forêt. En effet, pas si loin de là, on peut se plonger dans la fraîcheur de la verte sylve de Yakouren. Enfin, et depuis Tizi Ouzou, le visiteur non motorisé peut rallier facilement et Azeffoun et Tigzirt grâce aux innombrables fourgons de transport public qui ont, depuis quelques années, déjà réellement sillonné la wilaya. L'estivant désireux de profiter des plaisirs de la mer est chez lui dans ces stations balnéaires que le clinquant et le «m'as-tu-vu» n'ont pas encore réellement pénétré.