Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a estimé, que la violence contre les femmes est une «pandémie mondiale» qui a de lourdes conséquences pour les familles et la société. Pour le chef de l'ONU, il s'agit d'une question de droits humains fondamentaux. Guterres a mis en avant le fait que la violence peut revêtir de nombreuses formes, allant de la violence domestique au trafic, de la violence sexuelle en conflit avec le mariage des enfants, aux mutilations génitales et au féminicide. En 1999, l'Assemblée générale a proclamé le 25 novembre, Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, et a invité les gouvernements, les organisations internationales et les organisations non gouvernementales à organiser ce jour-là des activités conçues pour sensibiliser l'opinion au problème de la violence à l'égard des femmes.