Rien n'est encore décidé concernant l'avenir de Attal Arrivé durant l'intersaison à Nice pour un chèque de 3 millions d'euros en provenance de KV Courtrai, Attal est en train de réaliser une saison époustouflante qui a considérablement fait monter sa valeur marchande. Au moment où plusieurs informations circulent quant à la prochaine destination du latéral algérien de l'OGC Nice, Youcef Attal, son nouveau président, Gauthier Ganaye, laisse planer le flou. Le responsable niçois n'exclut pas le départ de son joueur en fin de saison, mais affirme que sa direction attend «une offre exceptionnelle» pour négocier. Ganaye a précisé qu'il y aura bel et bien des départs, l'été prochain, et la possibilité que l'international algérien soit sur cette liste n'est pas à exclure, même si la volonté du club azuréen est de le garder. «On vendra probablement des joueurs, mais ce sera dans notre intérêt sportif et financier. Youcef Attal fait partie de nos plans pour la saison prochaine, mais on ne sait jamais ce qui peut arriver. Il y a parfois des offres exceptionnelles qu'on ne peut pas refuser. Tout le monde s'accorde à dire qu'on a une bonne équipe, techniquement au-dessus de la moyenne, mais qu'on a des manques offensifs. On l'a vu encore à Marseille. Donc, oui, ce sera le chantier», a-t-il déclaré à Nice matin. Arrivé durant l'intersaison à Nice pour un chèque de 3 millions d'euros en provenance de KV Courtrai (Belgique), Attal est en train de réaliser une saison époustouflante qui a considérablement fait monter sa valeur marchande. Elle est passée, selon les responsables niçois, à 70 millions d'euros. Plusieurs clubs sont sur ses traces, notamment l'Atletico Madrid et le Paris SG. Ce dernier, selon des sources médiatiques françaises, est prêt à mettre sur la table un chèque de 30 millions d'euros, afin de pallier le départ du Belge Meunier, mis sur la liste des libérés. Ces convoitises, qui font qu'il se trouve sous le feu des projecteurs, n'ont pour l'heure, pas perturbé l'international algérien, qui enchaîne les bonnes prestations, en espérant se maintenir sur sa dynamique jusqu'à la CAN-2019, au mois de juin prochain en Egypte. Sur ce point, plusieurs observateurs évoquent le grand rôle joué par son entraîneur à Nice, Patrick Viera, ainsi que le sélectionneur national, Djamel Belmadi. Les deux techniciens en question font des pieds et des mains afin de couver leur joueur et le laisser loin de toute pression, qui risque de se répercuter négativement sur lui. Viera avait, d'ailleurs, déclaré le concernant: «Il aime être sur le terrain en plus d'être toujours à l'écoute et réceptif. Je le découvre encore plus de jour en jour.»