Décidé le 6 août dernier, le mouvement des chefs de cour touche à sa fin. Il se déroule mano sous la direction de Belgacem Zeghmati, ministre de la Justice, garde des Sceaux, de Farida Benyahia, présidente du Conseil d'Etat, d'Abderrachid Tabi, premier président de la Cour suprême et de membres de la Cour suprême. Tous les intervenants ont insisté sur le sérieux de ce mouvement qui sonne la charge sur la médiocrité, sur ceux qui s'arcboutent face à l'allégeance aux forces non constitutionnelles. Ce mouvement aura pour objectif de mettre à l'épreuve les Lanouar Ben M'hidi, Mohamed Guerrouabi, Abdenour Gassi, Abdelhakim Dallache, Mohamed Regad, Mokhtar Bouchrit, Abderrazak Bensalem, Allane Rachid, Mohamed Kouadri, Abdelhak Boukrouh, Ahmed Mansour, Mohamed Mameri, Hamid Tahir, Abdelmadjid Belhadj, Moussa Othmani, Mohamed Kessar, Abdelmadjid Djebbari, Mimoun Kadri, et autres Djamel Lidjaoui, soit en matière de résistance, soit pour ce qui est de leur capacité à répondre aux nécessités de l'heure!