Smaïl Mesbah met l'accent sur la réhabilitation de la confiance Revenant sur la réhabilitation de la confiance entre le citoyen et l'Etat, le ministre délégué chargé de la Réforme hospitalière auprès du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Smail Mesbah, a estimé que «le projet d'amendement Constitution permet à l'Algérie d'être à l'abri des crises pluridimensionnelles qu'elle a traversées durant les derniers années. Il y a une crise de confiance entre les citoyens et le pouvoir, le citoyen a perdu espoir, par le passé, en raison de la corruption et du détournement des deniers publics». Indiquant que «ces raisons ont amené le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à faire une promesse, devant Dieu et le peuple, afin d'oeuvrer avec dévouement, répondre aux revendications du Hirak, opérer un changement global et garantir une vie dans une Algérie démocratique et prospère. Karim Younès: «La nouvelle Constitution permet de lutter plus fort contre la bureaucratie» Relevant, avec insistance, la nécessité de renforcer la lutte contre toutes les formes de bureaucratie, le médiateur de la République, Karim Younes, a souligné, à partir de Tipasa, que «l'Etat va oeuvrer, en vue d'une lutte plus forte contre la bureaucratie, après le 1er novembre, date du référendum sur le projet de l'amendement de la constitution. La lutte contre la bureaucratie sera plus forte et plus «enthousiaste» après le 1er novembre, en vue de l'édification d'une nouvelle Algérie, où régneront la liberté, la justice et l'équité. Ce travail requiert du temps, car il n'est pas possible de lutter contre la bureaucratie, sous toutes ses formes, en un jour. Il faut parler aux citoyens, en toute franchise et ne pas leur mentir, mais il existe une volonté pour ce faire et la nouvelle Constitution permet de lutter plus fort contre la bureaucratie». Belkacem Zeghmati: «le dernier mot reviendra au peuple, source de tous les pouvoirs» S'exprimant à partir d'Ain Defla, le ministre de la Justice, Belkacem Zeghmati, a mis l'accent sur la rupture avec l'ancien régime, précisant que «l'ère du monopole du pouvoir, de la tyrannie et de l'autoritarisme, à l'origine d'innombrables maux, est révolue. Le temps était arrivé pour que le dernier mot revienne au peuple source de tous les pouvoirs. Soulignant que «l'alternance au pouvoir jouit d'une importance primordiale dans l'avant-projet de la Constitution, objet d'un référendum, le 1er novembre prochain, qui limite le nombre de mandats (présidentiels ou autres) à deux. Mohamed Hamidou: «Ce projet répond aux aspirations du peuple algérien» «Le vote par ‘'oui'' sur le projet de révision de la Constitution est le bon choix pour atteindre une réforme globale de l'Etat et de ses institutions, loin des slogans creux et construire l'Algérie nouvelle, fondée sur les principes de transparence, de compétence, de séparation de l'argent de la politique et de lutte contre la corruption»; c'est ce qu'il a déclaré, au dernier jour de la campagne référendaire, précisant que «ce projet répond aux aspirations du peuple algérien et traduit une vision stratégique devant placer le pays à l'abri des agissements individuels, mettre fin à la protection de toute personne corrompue et garantir les libertés individuelles et collectives, les droits humains et la liberté de la presse. Belkacem Sahli valorise les grands axes de la révision constitutionnelle Mettant en avant les axes forts de la mouture finale de la Constitution, Belkacem Sahli SG du parti de l'ANR, a precisé que «l'amendement de la constitution soumis à référendum le 1er novembre prochain, est en mesure de réaliser l'équilibre entre les aspirations du peuple, ses droits et libertés qui ne cessent d'évoluer avec la société et le droit international, d'une part et les exigences de préservation de la sécurité et de la stabilité de notre pays, d'autre part». Insistant sur l'impératif de «préserver les composantes de l'identité nationale, renforcer l'Etat de droit, consacrer les droits et libertés, ancrer le principe de séparation des pouvoirs et l'indépendance de la justice, et libérer l'initiative socio-économique».