Après une vingtaine de jours, et une minutieuse enquête menée par la brigade de la police judiciaire de la sûreté de Sour El Ghozlane, le coupable de l'acte criminel sur la femme poignardée à Sour El-Ghozlane, s'est avéré être son propre mari qui a reconnu son forfait. Après une étroite collaboration entre la police scientifique et le médecin légiste la brigade de la police judiciaire de la sûreté a découvert les auteurs du crime. En date du 2 mars, D. Ahmed interrogea sa femme sur un relation douteuse qu'elle entretenait avec l'un de ses proches, chose qu'elle nia, le mari jaloux l'assomma d'un coup. Affolé, il sollicita l'aide de son frère D. Boumediène et sa soeur D. Fatiha (repris de justice) qui habitent l'autre versant de la ville. Croyant qu'elle était morte il fallait imaginer un scénario. Elle a été poignardée puis égorgée et ligotée afin de faire croire à un acte terroriste. Après découverte de la victime, la police arrêta le mari pour enquête puis en qualité de suspect. Présentés en début de semaine devant le parquet près le tribunal de Sour El Ghozlane, les inculpés ont tous reconnu leur forfait devant le procureur et le juge d'instruction. Ils ont été mis sous mandat de dépôt.