Dans le dernier numéro de la revue El Djeïch, l'éditorialiste est revenu sur le complot qui vise l'Algérie et les actes terroristes et barbares de deux organisations criminelles le MAK et Rachad impliquées directement avec le soutien de certains pays étrangers. Il évoquera les incendies, la trahison et le crime tragique d'un citoyen innocent tout en mettant en garde contre la sédition et la division du pays que visent les agitateurs pervers. Ainsi l'éditorialiste souligne en évoquant «les terribles incendies criminels», ont «prouvé ce que le Haut commandement de l'Armée nationale populaire avait affirmé à maintes reprises». L'Algérie est ciblée, puisque les incendies étaient criminels. L'éditorialiste ne manquera pas de révéler que «les enquêtes des autorités sécuritaires spécialisées ont prouvé indubitablement l'implication des deux organisations terroristes «MAK» et «Rachad» dans la guerre féroce menée contre notre pays», et certainement soutient-il «dans les crimes odieux qu'ont été les incendies qui, outre les pertes humaines, ont affecté le patrimoine forestier, la faune et la flore et l'équilibre environnemental dans de nombreuses wilayas du pays, causant ainsi de lourdes pertes à l'économie nationale». Non sans avoir évoqué « la torture barbare et le crime odieux perpétrés à l'encontre d'un citoyen algérien innocent». Il s'agit du jeune Djamel Bensmaïl victime d'un assassinat indescriptible car frappé, lynché, brûlé et égorgé sans aucun état d'âme devant des centaines de présents. Pour l'éditorialiste, qui a rendu hommage aux soldats morts dans les incendies en tentant de sauver des dizaines de familles, il souligne qu'à travers leur sacrifice et actes héroïques inestimables, «les éléments de l'ANP ont ainsi fait échec à un des nombreux complots et plans hostiles visant l'Algérie et son peuple». Et de mettre en évidence «les images éloquentes et expressives de cohésion, de solidarité et de synergie entre l'armée et le peuple dans les wilayas de Tizi Ouzou et Béjaïa, en particulier, et du peuple, en général». La référence à des plans hostiles a amené l'éditorialiste «à parler de l'implication du Makhzen, d'une manière ou d'une autre, dans ce crime odieux et impardonnable, en vertu du lien fort et avéré du Maroc avec les deux organisations terroristes susmentionnées». Le Makhzen s'est entêté «à engager les relations algéro-marocaines dans une impasse de laquelle il serait difficile de sortir». Une des dernières provocations inacceptables aura été «d'offrir, à partir de son territoire, une tribune à un ministre de l'entité sioniste en l'encourageant à émettre de fausses accusations contre notre pays et à proférer des menaces à peine voilées». Il ne manquera pas de rappeler dans ce contexte les déclarations de l'ambassadeur marocain auprès des Nations unies qui a violé tous les usages diplomatiques, «en exprimant le soutien de son pays à un mouvement séparatiste classé terroriste et en appelant à l'atteinte de l'intégrité territoriale de l'Algérie». Qualifiant la décision de rompre les relations diplomatiques avec le Maroc de «cruciale et ferme, prise par notre pays après avoir (...) observé une attitude de retenue et de mesure pendant des décennies face aux actions hostiles et aux provocations constantes du Maroc», l'éditorial estime que plus que jamais notre pays est déterminé «à marquer son attachement aux exigences de la souveraineté et de l'unité nationale». L'Algérie «est prête à faire face vigoureusement à toutes les tentatives hostiles visant l'Etat et à éradiquer les organisations terroristes qui tentent en vain de saper sa stabilité, l'unité du peuple et du territoire», a-t-il averti.