Les débats que nous venons de relater, textuellement, ont surtout valu par la méchanceté, et le mot n'est pas trop fort, de la part de la présidente du tribunal criminel, qui se comporta telle «Messaline, les fameuses amours et autres libertinage, en moins»! Il fallait la voir se dandinant, devant l'assistance, dont d'honorables, avocats, d'abord, interdits, ensuite, ébahis, enfin dépités par tant d'arrogance! Nous constatâmes, la déception en plus et l'âme en peine, le résultat malfaisant et catastrophique, de pseudo- magistrats «télécommandés» pour des missions de liquidations de personnalités repoussées par le pouvoir en place! Les présents et les «robes noires, étaient out, devant des débats menés gauchement, par une telle magistrate que beaucoup n'avaient pas reconnue, tant elle avait changé, de but en blanc! Le seul fait agréable à souligner était le «compréhensif» silence de Abdelghafour Kahoul, ce merveilleux procureur général de l'audience, qui suivait, sentencieusement, les tirs sur les droits de l'accusé, sans pouvoir intervenir en vue de faire cesser ces déshonorantes atteintes, du fait que le représentant du ministère public, savait pertinemment que, seule la présidente détenait la police de l'audience, par conséquent, se comportait, devant un «Nidham» implanté comme un poing sur roche, comme une conquérante en terre... ennemie! Une honte, que de tels comportements!Des atteintes qui n'ont pas leur raison d'être!