Ce n'est un secret pour personne, que le football n'est pas né dans notre pays, avant, avant-hier. Dans la nuit coloniale, déjà, de véritables perles brillaient au firmament d'un ciel bleu, mais strié des trois couleurs étrangères, à notre personnalité, à notre façon de vivre, d'étudier, de s'habiller et de penser, surgirent un beau matin, à partir de Toulon, ce port «Franc», qui porte encore les traces d'une expédition forcée imaginée, organisée, poussée et par des forces connues pour être de sanguinaires colonialistes, allant jusqu'aux sinistres enfumades des Algériens ayant refusé de se soumettre à l'établissement d'une colonie qui en appellera d'autres... Oui, le foot existait pendant la colonisation, et les clubs dits et forcément, «musulmans», seront le 1er tir de semonce de cet immortel 1er novembre 1954. À mi-chemin de son déclenchement, les responsables réfléchirent à la mise en place d'une équipe «FLN» pour montrer au monde l'appartenance du peuple algérien au Front de Libération nationale. L'avènement de l'indépendance accentuera davantage les liens qu'avait l'émigration, avec le peuple algérien. La preuve est qu'aujourd'hui, des binationaux répondent aux «Vert-Blanc-Rouge», comme hier, Mostefa Zitouni, Rachid Makhloufi, et autres Ahmed Oudjani, Zouba, Abdelhamid Kermali, Defnoun... Un «pro-pharaon justicier»! Ainsi donc, le football d'aujourd'hui est l'enfant légitime de celui d'hier. C'est pourquoi les joueurs de poker, amateurs de renforts harkis et pêcheurs en eaux troubles, se sentent mal, très mal, après les victoires des «fennecs», les plus pâles, soient-elles. Pour ces gens alléchés par les passe-droits, les honteux et éphémères avantages, se sentent pousser des ailes en attaquant de front les équipes ambitieuses telles Magra, Oued Sly, Khenchela, préférant un championnat typiquement «algérois», même ceux de la couronne de la capitale. Affreux! Pour ce qui est des pays ayant à leur tête des Djamel Belmadi, par exemple, puisque ce dernier, en arrivant à Sidi Moussa, s'est comporté en véritable «pro-pharaon-justicier» afin de couper l'herbe sous les pieds de ces bouffeurs des quatre saisons. Ici, nous allons ouvrir une parenthèse pour les mauvais oiseaux de mauvais augure, les porte-malheurs, les annonciateurs d'inexistantes catastrophes pour les crédules, et autres amateurs de mauvaises nouvelles noires et sombres, pour leur annoncer qu'il est temps pour ces malheureux frustrés de signer enfin la paix avec eux-mêmes, puisque depuis le temps qu'ils annoncent des échecs qui ne veulent pas montrer le bout du nez, ils ne voient rien venir! Alors, que ces messieurs maudissent Satan, et s'en remettent aux résultats positifs des «Fennecs», et leur coach, que le peuple a surnommé pour l'occasion, le «ministre du bonheur», ce jeune et ambitieux coach, le formidable et positif entêté, Djamel Belmadi! Un pharaon oui, mais un pharaon qui croit surtout en une seule Algérie sportive, ayant son propre football, sans les sales bouffeurs à tous les râteliers. Pourtant l' «émigré Djamel» est pour une équipe propre, digne, fière, aimant enchaîner les victoires pour le bonheur d'un peuple qui a longtemps, depuis plus de trente ans, pleuré sur les cendres et les dépouilles, d'un peuple meurtri, volé, aux filles décapitées, écrasé et dévasté par le feu d'incendies de biens publics voulus par la barbarie, les détournements de fonds, l'installation d'une oligarchie qui ne disait pas son nom. Ainsi, ce Djamel né en France, où il a été formé, grandi, et comble de grandeur précoce, car ayant répondu à l'appel des «Verts» au bon moment, quand le pays avait besoin de lui au même titre que les Noureddine Korichi, et avant lui, Benarbia, et avant, Maroc, etc. On se rappelle comment ce fougueux Djamel Belmadi, avait lancé son maillot, sur le terrain, lors d'un changement, mais jamais expliqué pourquoi! L' «émigré Djamel»... Quelques années plus tard, en 2018, l'appel du pays, alors que notre foot végétait dans «la sale et ignoble bouse de vache» en agonisant, Belmadi arriva, sauta dans l'arène, en ayant sous les aisselles, les maux de notre EN, prit le taureau par les cornes, et débuta les «hostilités» sous les yeux moqueurs de la bande cachée sous d'illustres grands noms des valeureuses années 70/80, un travail titanesque de reconstruction inimaginable, avec des moyens colossaux, mis à sa disposition par les... joueurs réunis aux quatre coins de la planète, et le boulot se fit dans l'indifférence. Seuls, les compagnons, amis ramenés de l'étranger, et fans des «Verts» qui suivaient la méthode «Djamel», suivaient le «semis» qu'il avait mis sous terre, quelque temps auparavant, qui donnera l'équipe de 2019! Il avait même annoncé bien avant le début des «hostilités» le triomphe des «fennecs» en terre pharaonique. Les «charlots» en riaient, se tenaient les côtes, à force de se marrer, racontaient n'importe quoi, prévoyaient les ratés des «géants» Islam Slimani, et Adlène Guedioura, en leur prédisant, en Egypte, de sombres et nuls échecs dès le 1er tour! Nous connaissons la suite, et là, nous avons encore une fois pu vérifier que le fameux adage, «le ridicule ne tue point!» était constamment d'actualité. Le peuple s'amusa en plein «Hirak», pendant, après, et longtemps, encore les cygnes loueront les exploits de l'équipe à Djamel Belmadi, qui dureront après le passage de la pandémie de «Covid- 19». Oh, bien sûr, il y eut les deux retentissants échecs, le peuple pardonnait, mais jamais, les «charlots». Les critiques se multiplièrent. Les alliances contre nature se firent gratuitement, au grand jour. Des tirs nourris fusèrent de partout. Les tirs d'obus, à l'arc, des balles blindées, même des balles en caoutchouc, des grenades tous calibres, furent utilisées, pour voir Belmadi descendre des hauteurs de résistance, en vain. Il fit mieux: il écarta (provisoirement) quelques bons relatifs, vieux garçons, pour ameuter sept ou huit nouveaux joueurs, pour affronter le Niger. Les «Mouhalal»... Deux victoires, de quoi faire avaler leur langue aux serpents venimeux dont un, il est utile de le rappeler, qui s'autoproclame «Mouhalal», a omis un peu trop vite le fameux-scoop-bidon-rempli de salive sèche, affirmant, sans sourciller, que le pauvre Riad Mahrez avait confié à un ami qu'il ne pouvait plus courir, en appuyant fortement, sur le fait important, qu'il fallait désormais, le laisser tranquille. Or, jamais, au grand jamais, Mahrez n'avait aussi bien brillé, que cette année du «pauvre Mahrez qui n'arrivait plus courir»! Le fait de rappeler douloureusement ce triste épisode d'une de nos chaînes-TV, est important en soi, car à l'avenir, on devrait réfléchir à onze fois, avant d'inviter un étourdi venir raconter, les lèvres serrées, le front bas, le verbe hachuré, le ton timide et l'intention de faire mal au coach national, du n'importe quoi! Depuis ce jour-là, la chaîne-TV coupable de complots anti -Belmadi, avait perdu de nombreux fidèles téléspectateurs. Il est plutôt regrettable de revenir sur des évènements connus de tous, mais tout comme les anti-Belmadi, nous sommes, pour notre part, pour Djamel «inculpé ou victime»! Et généralement, une victime, devant la justice, est protégée par le juge, le procureur et vaillamment, défendu par l'avocat. Et Djamel vaut tous les sacrifices. Alors, en ce qui nous concerne, nous préconisons de nous mettre tous autour de lui, et derrière le Onze national, l'unique que nous possédions pour des aventures à venir, et des exploits à savourer.1958, (date de la création de l'EN, du FLN) 1975(JM), 1978(JA), 1982(Gijón), 1986,(Guadalajara) 2009(Oum Dormane), 2014(Brazil) et 2019 (Egypte), sont des dates à ne jamais oublier, les hommes, avec! En avant pour d'autres chants de triomphes de l'EN, une équipe pour tous, drivée par l'incomparable homme de foot, nommé: Djamel Belmadi. Bon vent à tous les détracteurs de Belmadi qui doivent s'acclimater avec l'air que va respirer Djamel jusqu'à 2026! ´´ One, two, three, viva l'Algirè!´´