Pour plus de précisions et éclaircissements, revoyons un moment une partie du texte, avant la correction: «... Revenons un peu en 2023, l'année de tous les mots et maux. La bataille fait rage entre les acteurs et «metteurs en scène» de l'actualité nationale «sportivo -pécuniairo- footeuse». Les langues se délient pour enfoncer ou tendre la main à qui de droit. L'autre bombe à mille morceaux envoyée par Raouf Bernaoui, l'ex- éphémère jeune ministre de la Jeunesse et des Sports de la période «hirakiste». On lui aurait suggéré de renvoyer illico-presto, et Kheir-Eddine Zetchi et Djamel Belmadi, le président de la FAF de l'époque, et coach national, toujours en exercice, au grand dam, des, heureusement, très peu nombreux éléments anti-Belmadi. Et les noms des «criminels» cités par l'animateur ne semblent pas être les bons, car ce ne sera jamais un Med Raouraoua qui se serait permis le luxe de faire une telle inconvenante proposition! (et c'est précisément ici, que le texte fut «dévié» de son contenu. Il fallait lire: «Ce n'est effectivement pas Med Raouraoua, un type qui domine aisément son sujet, et donc les lois, qui n' allait tout de même pas se mêler des affaires de la FIFA, en suggérant à Bernaoui, d'enlever telle ou telle personne influente du sport de notre pays. Seules, les grandes G... semblaient avoir le souffle nécessaire pour tenir des rounds entiers de palabres, d'accusations, de mensonges, de fausses et vraies infos, de diffamations le plus souvent gratuites. Entre-temps, la caravane passe et repasse sans encombre, malgré tout ce qu'on peut dire sur le foot actuel.» En effet, la situation actuelle fait que tout le monde s'amuse à éviter tel ou tel tir nourri de la part de l'adversaire caché derrière un «honteux -salvateur-pseudonyme», qui dit souvent son «non» tut, à la politique sportive du moment. Ah, si toutes les forces vives sportives se mettaient d'accord sur l'essentiel... Mais le gain facile, les déplacements à l'oeil, les délicieux - gratuits casse-croûtes, le florissant marché des jeunes pépites et les nombreux passe-droits, ont voulu que cette situation durât le maximum de temps. Entre-temps, le Championnat national avance inexorablement vers une malheureuse fin en queue de poisson, car depuis un bon bout de temps, les supporters ont largement compris, qu'ils étaient «les dindons de la farce» d'un championnat qui a perdu depuis très longtemps de sa superbe. Mais, que doit penser au fond de lui-même, un vrai supporter, qui regarde un match truqué de bout en bout? Au milieu de tout ce méli-mélo, il y a ce malheureux arbitre, qui trinque à chaque guerre entre les contestataires! L'homme en noir restera, jusqu'au coup de sifflet final de la vie terrestre, l'homme à abattre, et jamais ceux qui, des corrupteurs et des corrompus, qui assisterons, hilares, car, croyant être définitivement, triomphants, à la chute de tout le monde, sauf à la leur! D'allumeuses et flambantes déclarations faites à l'emporte-pièce, sont alors envoyées depuis les studios par des gens qui savent très bien ce qu'ils disent, quitte à écorcher le nom de «Tamourth» le nom qui englobe des millions de martyrs, tombés pour une Algérie forte, propre et souveraine. Heureusement, qu'il y a encore et toujours dans ce pays miné par la jalousie, l'envie, la calomnie, la diffamation et la volonté de nuire, des gens debout, prêts à relever tous les défis, les plus insurmontables, fussent-ils. Si on s'amusait seulement à faire le décompte de grands et sains responsables qui ont pris en main le destin de notre football, on épongerait d'un coup de maître, toutes les bêtises, ratés, loupés et autres maladroites, gauches et impardonnables c... Le monde est ainsi fait: on n'y peut absolument rien! Vous ne pouvez jamais imaginer le tournis qui prenait les dirigeants intègres, lorsqu'ils entendaient des vertes et des pas mûres, à propos de la gestion de la Ligue ou de la FAF. Ces organismes livrés aux innombrables «aboiements» des chiens errants, constamment à la recherche de «vrais-faux scoops» pour le seul plaisir de saboter finalement le pénible travail des membres des successifs bureaux fédéraux. Malgré l'habitude de recevoir des coups émanant de proches du cercle des décideurs footballistiques, ces membres faisaient bon coeur, contre mauvaise fortune et avançaient durement, souvent dans un épais brouillard de sable, vers la gloire espérée par les fans du club «Algirè». Ces derniers longtemps ignorés par les instances sportives, jusqu'en 2018, lorsque devant l'immobilisme de certains pieds «nickelés» du foot national, le peuple exigea la prise en main des Verts par le digne enfant-terrible, d'une Algérie en panne d'idées et d'actions utiles, ce fils tant attendu, en la personne de Djamel Belmadi, celui-là même qui fut présenté à l'opinion publique comme celui qui a osé en 2004, jeter son maillot lors d'un changement opéré par le coach d'alors. Mais ce grave fait fut unanimement accueilli par la grosse masse des supporters, qui furent vite récompensés, quelques mois plus tard, par l'arrachage de haute lutte au pays de Ramsès II, du trophée tant envié par l'écrasante majorité des pays africains. La 2e coupe d'Afrique des nations entrait bel et bien par l'aéroport «Houari Boumediene» d'Alger. Nous étions en 2019 et c'est du passé. Quatre ans après, Djamel Belmadi est toujours là, malgré les mille et une tentatives, de déstabilisation pour le faire descendre de l'étrier de l'EN. Voilà déjà que l'entraîneur national a commencé le travail de rajeunissement de l'équipe, par une surprise de taille: la convocation de jeunes talents locaux prometteurs. C'est là une sage et intrépide décision réfléchie, qui fera rabattre le caquet à tous les oiselets en quête de «nourriture» dans la célèbre cantine de Sidi Moussa (Alger), un moment interdit d'entrée aux pique-assiettes chassés par les incisives et acerbes rappels à l'ordre du «chef de tribu» Belmadi, qui a compris très tôt, le néfaste jeu de cette mafia qui rôdait sans cesse autour, et dans le majestueux centre de résidence de Sidi Moussa. Alors, commença le travail de sape de cette supposée mafia, qui sera téléguidée par phones interposés, durant les conférences de presse qui se termineront par de malheureux incidents, et qui finiront par rendre responsable de cette tragique situation, le seul Djamel Belmadi, couronné à l'occasion de tous les sinistres noms, à commencer par le triste nom de «dictateur», et finira par «l'incompris» des spécialistes des coups tordus. Mais le train victorieux de la coupe d'Afrique des nations 2019, et des 4 années de victoires consécutives, un challenge jamais atteint avec n'importe quel team national, depuis 1958. Ce rappel de faits, est simplement un petit coup de chapeau à l'intention de tous ceux qui bossent pour le bien du pays. Mais de là à idolâtrer ces bosseurs, il y a un pas, à ne jamais songer à franchir!