Le Président sortant, Abdelmadjid Tebboune, se présente comme candidat indépendant pour un second mandat, avec un programme centré sur la continuité des réformes et la concrétisation des grands projets structurants. À travers trois grands meetings et des centaines d'autres organisés par ses partisans, Tebboune a parcouru des milliers de kilomètres pour convaincre les citoyens de l'importance de renouveler leur confiance en lui. Le directeur de campagne de Tebboune, Brahim Merad, l'a répété sans relâche: «Il est primordial pour l'avenir du pays de voter Tebboune.» Pour lui, la continuité est la clé pour permettre aux grands projets structurants lancés durant le premier mandat de voir le jour d'ici 2026. Ces projets, notamment dans les secteurs économiques et sociaux, nécessitent du temps pour arriver à maturité. C'est pourquoi le renouvellement de la confiance envers Tebboune est essentiel. L'un des projets phares est l'exploitation des minerais, avec en tête Ghar Djebilet, souvent qualifié par Tebboune de «rêve de tous les présidents qui se sont succédé en Algérie». Ce projet, symbole d'une vision à long terme, devrait contribuer à faire grimper le PIB du pays à 400 milliards de dollars à l'horizon 2026. En parallèle, la sécurité alimentaire, un autre pilier de cette stratégie, est en passe d'être atteinte. D'ici la fin de l'année 2025, l'Algérie n'importera plus un grain de blé dur, et d'autres produits comme l'orge, le maïs, le sucre, et l'huile de table suivront. Parmi les projets les plus emblématiques figure la ferme intégrée d'élevage et de fabrication de poudre de lait «Bladna», dont les travaux débuteront demain. Ce projet, d'une valeur de 3,5 milliards de dollars, est destiné à couvrir 50% des besoins nationaux en lait d'ici 2026, tout en fournissant le marché local en viande rouge et en augmentant le cheptel national. Ce projet créera 5 000 emplois directs, en plus de ceux générés indirectement. Cela prouve que la vision de Tebboune n'est pas une utopie: les projets se concrétisent et la sécurité alimentaire devrait être assurée d'ici 2027. La relance de l'industrie nationale est également en marche sous le label «Made in Bladi». L'exploitation des ressources nationales comme le minerai de Ghar Djbilet ou le phosphate fabriqué en Algérie devrait permettre de créer des milliers d'emplois et de renforcer l'intégration industrielle du pays. Le projet «Bladna» à lui seul crée déjà 5 000 emplois directs, et Ghar Djebilet en promet beaucoup plus. L'objectif de 450 000 emplois promis par Tebboune s'il est réélu semble à portée de main. Le programme de Tebboune ne se limite pas aux secteurs économiques et industriels. Il comprend également des mesures pour améliorer les conditions de vie des citoyens, avec un soutien accru aux secteurs de la santé et de l'habitat, ainsi que la transformation de plusieurs agglomérations en wilayas. Le Président-candidat mise aussi sur l'investissement des jeunes dans les secteurs de l'agriculture et de l'industrie. Dans un contexte où les grands projets structurants nécessitent du temps pour arriver à maturité, un changement de président pourrait mettre en péril ces avancées. En effet, un nouveau président viendrait avec ses propres idées et pourrait chambouler les plans en cours, risquant ainsi de laisser des projets cruciaux de côté. Cela entraînerait un retour à la case départ pour l'Algérie, alors que les premiers fruits des réformes engagées commencent à peine à être récoltés. Tebboune, fort de sa popularité, a pris le risque de lancer ces projets à long terme, et les résultats devraient être visibles d'ici 2026. En fin de compte, voter en faveur du candidat indépendant Abdelmadjid Tebboune, c'est garantir la poursuite du processus d'édification de la nouvelle Algérie. C'est s'assurer que le train vers l'Algérie victorieuse reste sur les rails, et que les grands projets structurants se concrétisent pour le bien de tous les citoyens. Pour ses partisans, le choix est clair: la continuité avec Tebboune ou le risque d'un retour en arrière...