A Mostaganem, le RND continue d'être la victime de ses élus alors que ses responsables nationaux ne ménagent aucun effort pour affronter la dure réalité du terrain. Pourquoi donc les responsables locaux affichent-ils une indifférence et un mutisme en ce qui concerne les agissements négatifs de certains de ces élus, censés représenter le peuple par des comportements exemplaires. Un membre élu de l'APC, délégué au service du logement, s'est rendu coupable de harcèlement sexuel, une affaire qui a provoqué suspicions et supputations à travers l'opinion publique qui n'est pas restée indifférente. Beaucoup de questions restent posées à ce jour ? Quelle serait la suite à lui réserver? A quel niveau se situe cette affaire? Y aura-t-il réellement des sanctions à prendre? Et si un simple citoyen avait commis la même erreur, aurait-il bénéficié de cette même indulgence? Comble de l'ironie, toutes les tentatives sont déployées pour camoufler cette affaire à l'opinion publique à la veille des prochaines échéances électorales. Quoi qu'il en soit, le RND doit agir en conséquence, pour déterminer les tenants et aboutissants de cette affaire, en toute objectivité, ce qui lui sera d'un grand avantage pour la concrétisation de ses espoirs et le retour de la confiance du peuple. Le RND ne doit plus être éclaboussé par le comportement de certains de ses élus.