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Quel modèle énergétique pour l'Algérie?
HORIZON 2030
Publié dans L'Expression le 16 - 04 - 2007

«L'homme, par son égoïsme trop peu clairvoyant pour ses propres intérêts, par son penchant à jouir de tout ce qui est à sa disposition, en un mot, par son insouciance pour l'avenir et pour ses semblables, semble travailler à l'anéantissement des moyens de conservation et à la destruction même de sa propre espèce...» Lamarck-1820
Le 11 avril s'est tenue la 11e Journée de l'énergie ouverte par les deux ministres de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de l'Energie et des Mines. Dans leurs interventions, les deux ministres ont insisté sur l'utilité de tel débat qui amène à une plus grande conscience des enjeux de l'énergie et des stratégies que l'Algérie devra mettre en oeuvre pour prévenir l'avenir. 13 communications faites par les élèves ingénieurs et les doctorants de l'Ecole polytechnique, cinq ont été présentées par le secteur de l'énergie, une du secteur des ressources en eau, ont tenté de faire le point des atouts de l'énergie et sur les approches quant à une stratégie énergétique de l'Algérie. Une conférence sur ce que sera 2030 a été donnée. Nous résumons ici les principales idées. Les participants ont débattu de la nécessité de modèles énergétiques suffisamment flexibles de l'Algérie pour tenter de construire l'avenir au lieu de le subir.
La fin du pétrole
Le monde que nous connaissons est appelé à connaître, dans un futur très proche, des changements radicaux. Notre civilisation est sur le point d'affronter la plus grande crise qu'elle n'ait jamais connue. Une crise qui ne s'est jamais produite auparavant, et qu'elle ne connaîtra jamais plus. Cette crise, c'est la fin de l'âge du pétrole. Le dernier ouvrage de Jacques Attali: «Une brève histoire de l'avenir» calquée curieusement sur l'ouvrage culte de Stephen Hawkins: «Une brève histoire du temps», qui décrivait globalement l'histoire de l'univers à partir du «big bang», tente de nous décrire l'avenir, à travers une boule de cristal qui puise sa rationalité dans un certain nombre de tendances lourdes aux besoins flexibles mais fondamentalement incontournables.
Comment, en effet, penser l'avenir pour agir par voie de conséquence et ne pas être dépassé par le mouvement du monde quand il a lieu. «Gouverner, dit-on, c'est prévoir». Pour tenter de prévoir l'avenir, il faut d'abord voir le présent dans ses multiples facettes. Les dimensions culturelles et cultuelles sont, peut-être, la clé de compréhension de l'avenir. Sans nous appesantir, il faut retenir que leur importance peut être déterminante dans les relations futures des «Etats» anciens et nouveaux. Jacques Attali a raison d'écrire que «Le passé est traversé par des invariants et il existe comme une structure de l'histoire permettant de prévoir l'organisation des décennies à venir». En clair, l'histoire est dynamique et dans le passé sont inscrites les tendances lourdes de l'avenir. Il y a là matière à métaphysique et pour faire court, «tout est écrit» cela rejoint le «mektoub». Parmi les dimensions technologiques trois contraintes nous paraissent être les plus représentatives du monde de demain. Il s'agit de l'eau, de l'énergie et du climat. Si les deux premières contraintes sont «solutionnées» de façon différente par les pays riches et puissants, il n'en est pas de même concernant le climat: Chacun est concerné par les colères de Gaïa (la Terre dans la mythologie grecque), riches comme pauvres, faibles comme puissants. Car, pour laisser aux générations futures une planète fréquentable, nous ne pouvons plus continuer à gaspiller l'eau et l'énergie. Il nous faut aller vers une juste répartition des ressources, car il est scandaleux qu'au XXIe siècle, dans certains pays africains, un homme consomme en une année ce que consomme en énergie un Américain ou un Koweitien en une semaine!
Une méthode prédictive a été mise au point par le géologue américain, Marion King Hubbert, pour déterminer le moment où la production d'un champ pétrolifère atteint son point culminant. Selon les estimations de l'Aspo, une association de géologues indépendants, loin des surévaluations tendancieuses des compagnies pétrolières ou des pays pour attirer les investisseurs, le pic de production au Moyen-Orient sera atteint vers 2010. La question n'est donc pas de savoir si l'épuisement aura lieu, mais quand il aura lieu. Une fourchette de dates comprises entre 2020 et 2030 est généralement avancée. Le rapide développement industriel de la Chine a tendance à rapprocher les estimations du bas de la fourchette.
Ceci étant dit, comme toutes les ressources finies, la production de pétrole a commencé et finira à zéro. Entre ces deux extrêmes, la production passe nécessairement par un maximum. Le peak oil, ce n'est pas la fin du pétrole. C'est la fin du pétrole conventionnel pas cher. D'immenses bouleversements dans notre mode de vie: certains aspects de notre mode de vie devront être révisés entièrement. La croissance, ce n'est pas uniquement plus de biens produits, c'est également plus de matières premières et plus d'énergies consommées.
La fusion nucléaire ne sera pas maîtrisée avant une cinquantaine d'années au moins Pour les transports, la situation actuelle est passablement délicate. Selon l'Ocde, plus de 96% du trafic mondial de véhicules fonctionne encore grâce aux hydrocarbures. Il faut savoir que le parc mondial est de 800 millions de véhicules. La menace pourrait être encore plus grave pour l'agriculture intensive. L'agriculture est devenue une filière de transformation du pétrole en nourriture, rappelle Laherrère.(1)
Du point de vue géopolitique, les grands équilibres géopolitiques pourraient, eux aussi, être bouleversés par la crise énergétique et économique qui, selon l'Aspo, devrait succéder au peak oil. La seconde guerre du Golfe pourrait un jour s'avérer n'être que la deuxième. Il existe trois autres liens plus plausibles entre la politique de changement de régime des Etats-Unis et d'autres objectifs. La détermination des Etats-Unis à occuper l'Irak peut avoir trois buts principaux liés au contrôle du pétrole: exercer un contrôle physique sur le pays dont les réserves de pétrole occupent le second rang mondial; établir une présence militaire à long terme dans la région du Golfe persique, de façon à contrôler la principale source d'approvisionnement extérieur de l'Europe de l'Ouest et de la Chine; garantir, par une occupation physique des réserves de pétrole au deuxième rang mondial et par une présence militaire dans la région du golfe Persique qui pourrait permettre une occupation rapide des champs de pétrole saoudiens. Il vient que le début de la pénurie de pétrole (le peak oil) induira inévitablement des tensions. Peut-on assurer un «Smic» d'énergie aux plus démunis? Savons-nous que près des deux tiers parmi les Africains n'ont pas accès à l'électricité? Par ailleurs, comment éviter que le développement de l'industrie et de l'automobile ait un impact négatif sur l'environnement, notamment en matière d'émission de CO2? Enfin, quelles solutions innovantes mettre en oeuvre pour combattre le risque de changement climatique? Comment, enfin, puisque nous nous projetons dans l'avenir, assurer une disponibilité de l'eau qui sera l'un des enjeux majeurs dans les 25 prochaines années?
D'ici 2030, la demande énergétique mondiale va augmenter. Les scénarii placent la fourchette entre 17 et 15 milliards de tonnes. En clair, nous allons doubler la production de CO2! La croissance de la consommation sera en grande partie tirée par les pays émergents Cette hausse de la consommation pétrolière mondiale proviendrait, pour les deux tiers, des transports, et plus particulièrement du transport routier.
Dans un monde qui devient économiquement plus incertain, la conscience collective s'accommode de moins en moins d'autres risques sociaux. La conscience des problèmes posés par la confrontation d'un monde fini et d'une humanité dont le nombre croît et les besoins augmentent, n'est pas nouvelle. Une certitude s'installe progressivement: il nous sera de plus en plus difficile de continuer à fonder notre développement économique sur un modèle énergétique qui présuppose l'utilisation sans frein de sources d'énergie fossile abondantes et bon marché. La Terre est à la fois un espace de vie et une réserve de ressources.(2). D'après le quotidien australien The Age, 200 à 700 millions de Terriens pourraient souffrir de pénuries alimentaires d'ici 2080 du fait du changement climatique. Les pénuries d'eau pourraient frapper, elles, entre 1,1 et 3,2 milliards d'êtres humains.
Compte tenu de l'inertie du système, la simple stabilisation de la teneur en CO2 de l'atmosphère autour de 550 ppm -contre 380 ppm actuellement- exigerait une diminution par 2 des émissions actuelles. Le trou d'ozone augmentera de taille et donnera lieu à des maladies dues aux radiations solaires (ultraviolets). L'Afrique sera de plus en plus vulnérable du fait de la sécheresse et de l'aggravation de la pénurie d'eau. Jacques Attali pense que le PIB de l'Afrique sera inférieur au quart de la moyenne mondiale en 2025.(3)
On prévoit à côté des guerres pour l'énergie qui ont commencé avec le millénaire, des guerres de l'eau dans les prochaines années. La dissolution d'une partie du CO2 dans l'eau des océans amènera une acidification. Une étude récente montre que 70% des espèces de poissons disparaîtront à 2050. C'est-à-dire dans deux générations! Avec toutes ces nouvelles, nous n'avons pas fait le tour de toutes les mauvaises surprises possibles à l'avance, puisque la situation est inédite. La tâche est urgente, prévient Sir Nicholas Stern. Retarder l'action, même d'une décennie ou deux, nous entraînerait sur un territoire dangereux. La facture de l'inaction risque d'être salée. Le coût du changement climatique a été évalué à plus de 5 500 milliards de dollars, soit 20% du PIB mondial.(4)
Le monde est arrivé à un seuil. Ce qui était tenable dans les années 60 atteint ses limites. Le développement humain (intégrant environnement, santé et éducation) doit devenir le nouvel indicateur et remplacer le PIB. La croissance pour la croissance ne constitue pas une fin en soi. Les experts du Pnud remettent fermement la croissance à sa place. D'autres experts, principalement canadiens, parlent du bonheur intérieur brut, concept éminemment plus fécond que le produit intérieur brut sans visage et paramètre qui mesure une mondialisation-laminoir, selon le bon mot de Jacques Chirac. En 2030, le groupe des cinq plus grosses économies de la planète sera, quoi qu'il en soit, constitué par les Etats-Unis, la Chine, le Japon, l'Inde et l'Allemagne. En 2025, la pression sur les sources d'énergie sera encore plus forte qu'aujourd'hui. La hausse des températures et la baisse de la pluviométrie concerneront surtout les régions arides et semi-arides comme le Moyen-Orient, la Corne de l'Afrique, l'Afrique du Nord, le sud de l'Afrique, le nord-ouest de la Chine et l'Asie centrale. Le monde sera plus interdépendant et plus interconnecté mais en même temps plus divers et plus inégal. L'Afrique et le Moyen-Orient vont demeurer des régions d'instabilité chronique. La pauvreté en Afrique va maintenir la pression migratoire...
Comme on le sait, Les hydrocarbures constituent la source principale de devises (98,3%), une source de recettes budgétaires importantes par la fiscalité pétrolière (76%). Les choix économiques inadaptés ont débouché sur l'économie de rente, la dépendance alimentaire, la vulnérabilité, la volatilité et la dépendance. L'Algérie vit, présentement et pour les quelques prochaines années, un rendez-vous avec son destin. Dit autrement, nous sommes peut-être un pays «conjoncturellement riche» mais misérablement sous-développé. Il serait tragique que l'Algérie soit réduite à un marché de 80 milliards de dollars sans sédimentation de développement. Où en sommes-nous actuellement et quelles sont nos ambitions?
En 2030, nous connaîtrons des problèmes de sécheresse drastique et notre agriculture au nord deviendrait une agriculture différente probablement saharienne, nous ne préparons pas l'avenir, nous vivions au quotidien pendant que d'autres pays se projettent dans le futur. La Recherche, moteur du futur dans les pays développés, est en panne. Nous tournons en rond avec un PNR qui date de 1971. A titre d'exemple, l'énergie, le réchauffement climatique devraient être des axes de recherche majeurs avec de multiples retombées sur le plan des conséquences désastreuses, du point de vue de l'eau, de la disponibilité de l'énergie et de sa variété, de l'agriculture de la sociologie des populations qui seront déplacées, sont superbement ignorés. Un projet structurant, le barrage vert devrait être réhabilité.
Que sera l'Algérie en 2030?
«L'avenir ne s'écrit pas dans les richesses du sous-sol mais dans les têtes», pense Jacques Attali. Que sera le monde de 2030 et comment nous y préparer dès maintenant? Quelles sont les chances de l'Algérie d'être toujours l'Algérie à cette échéance. Gouverner dit-on c'est prévoir, plus que jamais nous devons gérer sous contrainte et profiter de cette accalmie factice de la manne pétrolière pour préparer le monde de demain. Nous ne pouvons rien sans avoir une utopie. Nous devons nous garder de nous endormir. La gestion de cette échéance de 2030 se prépare dès à présent. 2030 c'est véritablement une nouvelle civilisation qui va émerger. Veut-on y participer ou faire partie des «laissés-pour-compte» de ce que les spécialistes anglais de la prospective appellent les «zones grises», c'est-à-dire des peuples voire des peuplades incapables de se gérer, parquées à la lisière du progrès et survivant grâce aux miettes que leur lancent épisodiquement les pays riches?
Si on décide de se battre pour exister, il nous faut un cap, s'agissant de l'énergie, il n'est pas utopique de se fixer un objectif à 2030. Il nous faut un projet mobilisateur multidimensionnel. Fixons un seuil et tâchons de l'atteindre. 1°-Laisser 50% de la richesse prouvée et ne l'utiliser qu'à partir de 2030.
2°-Développer un fonds spécial pour les générations futures comme le fait la Norvège pour l'après-pétrole. 3°-Fixer un seuil pour les énergies renouvelables par étape 10% en 2015, 20% en 2020 et 30% en 2030. 4°-Développons le nucléaire en fonction de nos réserves.
5°-Mettons en place une politique du transport de l'habitat et des économies d'énergie. Is not to late, mettons-nous au travail sans tarder.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'écrivain Paul Valéry, parlant des limitations physiques de notre système, énonçait:
«Le monde du temps fini commence». «...La sagesse, écrit Albert Jacquart, est d'admettre que nous sommes définitivement assignés à résidence sur Terre. Il nous faut un projet pour demain sur place. Les hommes devraient retrouver le goût de se rencontrer, il faut enseigner l'art de la rencontre et l'apprendre toute la vie. J'essaie de décrire une société où les humains sont constamment occupés à s'interroger et à interroger l'autre».(4).
1.Aspo:Le peak oil, bombe à retardement du XXe siècle: http://www.peakoil.net. 28.11.03
2.Reuters: Les activités humaines responsables du réchauffement climatique; 2 février 2007
3.Jacques Attali: Une brève histoire de l'avenir; éditions Fayard. 2006.
19.Vittorio de Filippis: Le climat insoluble dans l'économie Libération: 30.01.2007
4.Albert Jacquart: L'utopie ou la mort. Le Monde de l'Education p.49. n°338, Juillet 2005.


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