Un jeune homme de 27 ans a été mortellement poignardé par son voisin à la cité El Bir dans la ville de Constantine alors qu'un autre, 28 ans, a été assassiné par l'un de ses camarades, dans la même cité, au courant de la journée de dimanche. Quelques heures plus tard, une autre agression a été commise dans la même cité toujours à l'arme blanche. La victime se trouve dans un état critique, selon des sources hospitalière qui tentent l'impossible pour la maintenir en vie. Ces rixes meurtrières sont souvent dues à des histoires banales. La facilité avec laquelle on use de l'arme est devenue un véritable drame social. Les victimes ont été enterrées l'une après l'autre et les auteurs arrêtés. Les mis en cause répondront des chefs d'inculpation d'homicide volontaire. Par ailleurs, une vieille dame de 75 ans répondant aux initiales B.M. a été retrouvée morte en son domicile, sis à Boumerzoug. Après l'intervention des services de la Protection civile et la police, le corps de la victime a été transporté à la morgue du Centre hospitalo-universitaire de Constantine. Une autopsie a été ordonnée pour déterminer les circonstances exactes du décès. Au courant de cette même journée, un jeune homme de 23 ans a été transporté dans un état critique par les services de la Protection civile au CHU de Constantine. A.M. a été victime d'une grave agression à l'arme blanche à Bab El Kantara. Une enquête judiciaire a été ouverte.