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Les religions au défi de la pluralité des mondes
BENOÎT XVI S'ADRESSE AUX ASTRONAUTES
Publié dans L'Expression le 26 - 05 - 2011

«Tu n'es qu'une bulle d'écume dans ce fleuve battu par la tempête; une fois que tes yeux seront ouverts le monde t'apparaîtra un rêve.»
Djallal Eddine Roumi.
«La science sans la religion disait Albert Einstein est boiteuse, la religion sans la science est aveugle». Nous allons à l'occasion de cette conversation religion (le pape) -science (astronautes à 450 km d'altitude de la Terre et à une vitesse de 27.000 km/heure), tenter de décrypter la signification de cette rencontre du IIIe type. Pour la première fois des hommes peuvent vivre des mois en dehors de la Terre.
Benoît XVI a conversé, en effet, en direct samedi 21 mai avec les équipages à bord de la Station spatiale internationale (ISS), lors de la première liaison satellite jamais organisée entre un pape et l'espace, à l'occasion de la dernière mission de la navette Endeavour. «Bienvenue à bord de la station spatiale, Votre Sainteté». Depuis la bibliothèque du Vatican, où avait été installé un écran géant, Benoît XVI a posé plusieurs questions à l'équipage sur la vie dans l'espace et sa perception du monde. «Quand vous contemplez la Terre depuis là-haut, est-ce qu'il vous arrive de vous interroger sur la façon dont les nations et les peuples vivent ensemble?», a-t-il demandé. «D'ici, on ne voit pas de frontières», lui a répondu le commandant de bord Mark Kelly. Il a été question de la contribution de la science à «la cause de la paix», de «l'avenir de la planète» et de sa fragilité, des jeunes, ou encore de la beauté de la Terre et de la création. «L'humanité vit une période de progrès extrêmement rapide en matière de connaissance scientifique et d'applications techniques. Dans un sens, vous êtes les représentants à l'avant-garde de l'exploration de nouveaux espaces et des possibilités futures de dépasser notre existence quotidienne.»(1)
La phrase qui nous paraît la plus importante et mérite d'être commentée est celle faite par le commandant de bord. «D'ici on ne voit pas de frontières.» C'est dire si tous les maux du monde que nous connaissons sont dus justement au fait qu'il y a des frontières à l'intérieur desquelles certains se croient supérieurs aux voisins au point de leur faire la guerre. Et même à l'intérieur de ces pays, il y a des frontières entre les classes sociales. Comme le dit Coluche avec son humour décapant, bien à lui: «Tous les hommes sont égaux mais certains sont plus égaux que d'autres». De l'espace on ne voit pas les drapeaux des nations, on voit des ressources de plus en plus limitées et des espèces dont certaines sont en extinction du fait de la prédation de l'espèce la plus dangereuse: l'homme. Quand le pape de 2011 parle de la conquête de nouveaux espaces, c'est un scoop comparativement au dogme de l'inerrance de l'Eglise. «Celui qui louvoie, celui qui tâtonne, celui qui s'adapte au siècle et transige, celui-là peut se donner à lui-même, le nom qu'il voudra mais devant Dieu et devant l'Eglise il est un rebelle et un traitre». Voilà ce que disait la papauté à la fin du XIXe siècle.
Ce revirement actuel de l'Eglise à l'endroit de la science est dû en grande partie à la perte de sens du message chrétien de l'Ancien Testament et des Evangiles - vu dans le sens littéral- confronté à la science. Car quand Nicolas Copernic publie son ouvrage De Revolutionibus, il démolit le mythe géocentrique en disant que c'est la Terre qui tourne autour du soleil, et non pas l'inverse, c'est l'affolement au sein de l'Eglise. Car comment expliquer que Gabaon arrête le soleil. Les théologiens relèvent dans la conception de l'Univers telle qu'envisagée par Copernic le chanoine polonais, une contradiction fondamentale avec les Saintes Ecritures. Dans le Livre de Josué, Josué aide les habitants de Gabaon à lutter contre les rois amorites. Les troupes de ces derniers fuient. Et c'est au Soleil que le prophète Josué ordonne de suspendre sa course, non à la Terre. «Soleil, arrête-toi sur Gabaon. Lune, sur la vallée d'Ayyalôn! Et le Soleil s'arrêta et la Lune s'immobilisa jusqu'à ce que la nation fut vengée de ses ennemis. (...). Le Soleil s'immobilisa au milieu des cieux et il ne se hâta pas de se coucher pendant près d'un jour entier» (Livre de Josué, 10-12 et 10-13).
Pour rappel du combat de tranchées entre l'Eglise, et la science balbutiante, à la fin du XVIe siècle, craignant les foudres de l'Eglise, l'astronome Tycho Brahe (1546-1601) avait préféré laisser la Terre au centre du monde. L'Eglise catholique avait redéfini son orthodoxie lors du concile de Trente (1545-1563) et dans un cadre de pensée largement aristotélicien. Pour défendre cette orthodoxie, elle s'était dotée de nouvelles institutions, en particulier le Tribunal du Saint-Office, qui devait juger des cas d'hérésie. (....) Mais l'Eglise catholique gardera, devant l'histoire, la responsabilité d'avoir condamné une théorie scientifique au nom de la lettre de la Bible. C'est seulement à partir du XIXe siècle que la science a acquis le formidable pouvoir intellectuel et social qu'elle possède aujourd'hui. C''est alors qu'est né le conflit entre Eglise et Science. Le 15 février 2009, 445 ans, jour pour jour, après la naissance de Galilée, le président du conseil pontifical a célébré une messe en son honneur en la basilique Sainte Marie des anges et des martyrs. Par cet acte, l'Eglise faisait amende honorable pour s'être trompé.»(2)
En juin 1988, Galilée fut réhabilité. Le discours du pape Jean-Paul II à l'Académie pontificale des sciences à propos de l'affaire Galilée le 31 octobre 1992, a traité des leçons que l'Eglise et le monde scientifique peuvent tirer de ce qu'on appelle «le cas Galilée». Lors de cette assemblée de l'Académie pontificale, le cardinal Paul Poupard, président du Conseil pontifical de la culture, a présenté le rapport conclusif de la Commission spéciale interdisciplinaire instituée par le pape Jean-Paul II en juillet 1981 pour examiner le cas Galilée. Dans le rapport officiel sur le cas de Galilée, on lit: «En conclusion, la relecture des documents d'archives le montre encore une fois: tous les acteurs d'un procès, sans exception, ont droit au bénéfice de la bonne foi, en l'absence de documents extraprocessuels contraires. (...) C'est dans cette conjoncture historico-culturelle, bien éloignée de notre temps, que les juges de Galilée, incapables de dissocier la foi d'une cosmologie millénaire, crurent, bien à tort, que l'adoption de la révolution copernicienne, par ailleurs non encore définitivement prouvée, était de nature à ébranler la tradition catholique, et qu'il était de leur devoir d'en prohiber l'enseignement. Cette erreur subjective de jugement, si claire pour nous aujourd'hui, les conduisit à une mesure disciplinaire dont Galilée «eut beaucoup à souffrir».(3)
La vie existe-t-elle ailleurs?
Cela nous amène à traiter de la vie extraterrestre. Pourquoi la vie existe uniquement sur une seule planète, la Terre? Alors que des centaines d'autres planètes existent, dans le système solaire et autour d'autres étoiles, ceci est prouvé également. C'est dans l'un des rares endroits de l'univers réunissant les conditions très strictes nécessaires que la vie a pu apparaitre, et seul le hasard peut expliquer à la fois cette rareté et cette apparition. Le précurseur de l'existence d'intelligence extraterrestre fut Giordano Bruno qui fut condamné par l'Eglise à être brûlé. En octobre 2009, au moment où l'Eglise catholique se penche sur le «cas Giordano Bruno», on se souvient en effet qu'en 1600, Giordano Bruno pour son ouvrage «De l'infinito universo et mondi, en 1584, après huit années d'incarcération, avait été condamné par l'Inquisition romaine à mourir par le feu: elle rejetait, notamment sa théorie sur l'univers infini, habité par d'autres humanités. En décembre 1992, deux mois après la «réhabilitation» de Galilée par Jean-Paul II, à laquelle il avait oeuvré, Coyne avait déclaré: «L'Eglise n'exclut plus l'existence d'autres êtres intelligents dans l'univers. Aujourd'hui, Giordano Bruno, condamné pour son hérétique affirmation relative à la pluralité des mondes habités, ne ferait plus scandale.»(4)
L'existence d'une vie extraterrestre est, depuis toujours, un objet d'interrogation et un terrain privilégié de l'imaginaire. Depuis que les radioastronomes écoutent le ciel, ils n'ont repéré aucun message de civilisation extraterrestre mais ils ont découvert une centaine de molécules différentes dans l'espace interstellaire, en grande majorité organiques et dont l'eau est parmi les plus abondantes.
Il n'est donc pas déraisonnable de penser que la chimie du carbone, en présence de l'eau, n'est pas limitée à notre système solaire ni à notre galaxie. Cela n'exclut, naturellement pas que d'autres métabolismes n'utilisant pas le carbone ou l'eau puissent exister. Il reste à définir ce que c'est que la vie.
Par ailleurs, l'exceptionnelle moisson d'exoplanètes de 2009, 85 au total dont au moins une rocheuse comme la Terre, ravive l'espoir de trouver un jour la vie ailleurs dans l'univers, alors que sur Terre de nombreuses espèces risquent de disparaître avant même d'avoir été détectées. Hasard du calendrier, l'ONU a proclamé 2010, «année internationale de la biodiversité», après une année 2009 consacrée à l'astronomie. L'humanité est invitée à préserver les espèces sur Terre après avoir regardé le ciel. Au moment où l'homme fait peser la menace d'une nouvelle extinction massive sur Terre, des efforts croissants sont faits pour trouver la vie ailleurs: 415 planètes tournant autour d'autres étoiles que le Soleil ont été découvertes en l'espace de quatorze ans, dont 85 en 2009, selon le dernier bilan. Grâce au satellite Kepler, lancé en mars, les astronomes espèrent trouver des planètes soeurs de la Terre pouvant abriter la vie, alors que les premières exo-planètes détectées à partir 1995 étaient des géantes gazeuses comme Jupiter.(5)
«Face aux progrès lit-on dans une contribution du journal Marianne 2 de l'astronomie, l'Eglise s'interroge sur l'existence d'une vie extraterrestre, quatre siècles après avoir condamné au bûcher Giordano Bruno (1548-1600), pour avoir affirmé que l'univers contient une infinité de mondes habités comme le nôtre. (...) Venons en maintenant aux scientifiques. Avez-vous entendu parler du chat de Schrödinger? Vous savez ce chat qui, comme les particules quantiques auxquelles il est lié, est à la fois mort et vivant. Ce paradoxe a fait couler beaucoup d'encre. Une des manières de sortir de ce paradoxe tout en s'accordant avec le formalisme quantique est précisément de faire appel à l'hypothèse des mondes multiples. Il existe un monde dans lequel le chat demeure vivant et un autre parallèle dans lequel il est devenu mort.»(6)
Où se trouvent tous ces autres mondes? Ils se situent ici, dans notre monde. «Voici une analogie, suggérée par le physicien Steven Weinberg, qui aide à mieux comprendre la situation. «Tout autour de nous, il y a des centaines d'ondes radio diffusées par des émetteurs divers. Pourtant, en allumant notre radio, nous n'entendons qu'une seule fréquence, celle qui correspond au réglage de notre récepteur. De la même manière, il y aurait une quantité faramineuse d'univers parallèles coexistant au même endroit, mais on ne peut pas tous les percevoir parce que leur ‘'fréquence'' ne nous correspond pas. Nous n'en percevrions qu'une seule, le nôtre. Quant à eux, nos doubles ne percevraient que le leur. Il en serait de même pour tous les êtres existants», écrit l'auteur.(6)
La dimension ésotérique, philosophique et religieuse
Le grand mystique soufi Rûmi qui connut tous les risques inhérents à son siècle, vivait cependant dans une sérénité inébranlable. Sa vision, qui était d'une grandeur étonnante, pourrait éclairer notre propre compréhension du monde et de nous-mêmes.
En effet, ce contemplatif a devancé les recherches les plus récentes de la science. Il affirmait déjà que si on coupait un atome on y trouverait un système solaire en miniature, une sorte d'explosion nucléaire: «Il est un soleil caché dans un atome: soudain cet atome ouvre la bouche. Les cieux et la terre s'effritent en poussière devant ce soleil lorsqu'il surgit de l'embuscade. «Il parlait également de la pluralité des mondes avant les physiciens du XVIe siècle, et savait que ce n'est pas le Soleil qui tourne autour de la Terre mais l'inverse. Selon lui, le mystère de la nature est tout entier exprimé dans la forme humaine: elle surgit du plus lointain passé de la planète et porte en elle toute la destinée de l'Univers infini. Pour Rûmi, l'histoire entière du monde sommeille en chacun de nous(7).
Le philosophe Jean Guitton pense pour sa part, que si un ordre sous-jacent gouverne l'évolution du réel, il devient impossible de soutenir, d'un point de vue scientifique, que la vie et l'intelligence sont apparues dans l'univers à la suite d'une série d'accidents, d'événements aléatoires dont toute finalité serait absente. Jean Guitton ajoute que ni les galaxies et leurs milliards d'étoiles, ni les planètes et les formes de vie qu'elles contiennent ne sont un accident ou une simple «fluctuation du hasard». Nous ne sommes pas apparus «comme ça», un beau jour plutôt qu'un autre, parce qu'une paire de dés cosmiques a roulé du bon côté. Laissons cela à ceux qui ne veulent pas affronter la vérité des chiffres.(8)
Les grandes religions terriennes ne réprouvent pas l'idée de l'existence d'autres mondes habités dans l'univers. Beaucoup de textes anciens y font référence: les machines volantes décrites par Ezéchiel (La Bible I 4-14 et 15-28), la guerre aérienne du Ramayana, l'épopée de Gilgamesh, les Elohim de la Genèse (La Bible VI 1 -4), les Veilleurs du ciel dont parle Hénoch (Livre des secrets d'Hénoch VI 1-2, 6; VII 1-2; VIII 1-3; X 10),
Le Coran fait explicitement mention de la pluralité des mondes dans le sens où ils obéissent à Dieu. Ainsi les mondes habités sont cités dans neuf sourates. (Coran: Sourate I, verset1; II, 3; V, 109; VI, 101; X, 3; XI 108; XIII, 15; XXI, 16; XXXVI, 36). Un autre verset du Coran laisse supposer que l'Univers, depuis sa création, est en perpétuelle expansion, et ses dimensions ne cessent de grandir. «Le ciel, Nous l'avons construit par Notre puissance: et Nous l'étendons [constamment] dans l'immensité.» (Coran: Sourate 51Verset 47).
La mélodie secrète est un miracle permanent. Ce véritable ballet fait que le système solaire est une minuscule poussière dans le champ de milliards d'étoiles qui se côtoient harmonieusement pour que la vie puisse avoir lieu sur Terre Qui gouverne ces mouvements? Qui programme ces vitesses de rotation? Qui veille au maintien des distances entre chaque astre? Depuis le physicien Newton, nous savons que c'est la force gravitationnelle, une force invisible, qui maintient l'ordre dans l'Univers. Force gravitationnelle selon les scientifiques ou force divine pour les croyants? L'accordeur transcendant gouverne les mouvements de milliards d'étoiles, de planètes, les guide, les soutient, et les fait mourir. Et nous, humains, esprits pensants simples mortels, poussières de l'Univers, nous nous permettons de douter de son éternité, de sa puissance
1.http://www.la-croix.com/Religion/S-informer/Actualite/Quand-Benoit-XVI-dialogue-avec-des-astronautes-_NG_-2011-05-21-617525
2.www.educreuse23.aclimoges.fr/loewy/realisations/tpe/epicyles/WEB%20PAGE/science.ml
3.http://www.croire.com/article/index.jsp?docId=236296&rubId=188
4.Arkan Simaan: Les leçons de la condamnation de Giordano Bruno SPS n°288, 10 2009
5.Planet Techno Science http://www.planet-techno-science.com/ciel-et-espace/une-moisson-dexoplanetes-renforce-lespoir-de-trouver-la-vie-ailleurs/
6.http://www.marianne2.fr/philippepetit/Croyez-vous-aux-mondes-paralleles_a152.html
7.http://www.unisson06.org/dossiers/religion/ecrits_spirituels/islam/soufisme.htm
8.Jean Guitton, Igor et Grichka Bogdanov: Dieu et la science, Editions Grasset 1991.


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