Doter les foyers en gaz et en électricité Le programme maintenu à Oum El-Bouaghi La wilaya d'Oum El-Bouaghi, qui a enregistré à fin 2008 un taux d'électrification rural de 93%, un taux global d'électrification de 94% et un taux de pénétration du gaz naturel de 67%, poursuivra ses actions de raccordement par un ensemble d'opérations programmées pour l'année 2009. Ainsi, en matière d'électrification rurale dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux, 23 kilomètres sont prévus pour raccorder 61 foyers à Henchir Bir Djedidi, Ras Djedidi, Medjez-Tbassa et Ecarts Zebars. S'agissant du programme quartiers et logements sociaux, il concernera 8 kilomètres et touchera 435 foyers à Aïn M'lila. Par ailleurs, 1 000 foyers situés à Aïn Zitoun et Bougherara Saoudiet Bririche bénéficieront de la distribution publique du gaz. B. Nacer Trafic de ciment à El-Tarf Trois entrepreneurs et un directeur EPLF condamnés À El-Tarf, les procès se suivent mais ne se ressemblent pas. En un mois, plusieurs verdicts ont été prononcés à l'encontre de responsables impliqués dans diverses affaires. Ainsi, le directeur de l'EPLF vient d'être condamné à six mois de prison ferme. Il est accusé de faux et usage de faux et d'usurpation d'identité afin de pouvoir obtenir des sacs de ciment pour la réalisation du programme étatique de logements. En fait, cette quantité est destinée à la contrebande. Notons que trois autres complices, entrepreneurs de leur état, ont été condamnés à une peine d'un an de prison ferme. Ce sont les responsables de la cimenterie de Hjar Soud, dans la daïra d'Azzaba, qui ont découvert le pot aux roses de ces trois entrepreneurs et de l'indélicat directeur lors d'un contrôle de routine. Par ailleurs, on apprend de sources bien informées que le verdict de l'ex-président d'APC de Ben M'hidi aura lieu le 4 février prochain. L'ex-élu est accusé de malversation, utilisation de biens publics… B. Tahar Cités-dortoirs à Constantine 500 locaux commerciaux de l'OPGI fermés Des centaines de locaux à usage commercial sont fermés depuis plusieurs années à Constantine, selon le directeur de l'OPGI de la wilaya. “Environ 500 locaux commerciaux, propriétés de l'Office, ne sont pas fonctionnels depuis 1995”, indiquera la même source. Ces espaces, non exploités, sont situés au niveau de la nouvelle ville Ali-Mendjli et à la cité Zouaghi. Les bénéficiaires desdits locaux ont déboursé 80 millions de centimes chacun, mais ils n'ont pas ouvert leurs locaux jusqu'à ce jour ! La direction de l'OPGI a pris la décision d'aviser les bénéficiaires et de revoir les contrats de location au cas où ces derniers ne lanceraient pas leurs activités. Ainsi, la résiliation de ces contrats n'est pas à écarter. Il est à noter que les quartiers précités grouillent de locaux commerciaux. La majorité des locataires ou des propriétaires de ces locaux activent dans la vente de produits alimentaires, sans respect des normes d'hygiène, de sécurité et d'implantation. Akila Benabdesselam