CHLEF L'enfant porté disparu à Oued Sly n'est toujours pas retrouvé ! Malgré les multiples et longues recherches engagées de jour comme de nuit depuis sa disparition le 17 janvier dernier, alors qu'il jouait à proximité du domicile de ses parents à la cité Sonelgaz, dans la comme de Ouled Sly, à une quinzaine de kilomètres à l'ouest du chef-lieu de la wilaya de Chlef, l'enfant, Brahim Doudane, n'est toujours pas retrouvé. Les affiches comportant la photo de l'enfant disparu et quelques indications sur son portrait physique, ainsi que des avis de recherches qui ont été placardés partout à travers plusieurs communes de la wilaya dans l'espoir d'une éventuelle bonne nouvelle n'ont servi malheureusement à rien. Selon nos sources, les recherches en question déjà entamées à plusieurs niveaux se poursuivent toujours et ne cesseront qu'une fois l'enfant retrouvé. Signalons, par ailleurs, que la thèse d'un probable acte de kidnapping n'est pas à écarter car d'après de nombreux témoignages recueillis à propos de cette mystérieuse affaire qui n'arrête pas de défrayer la chronique à Oued Sly, l'enfant Brahim, âgé de six ans, aurait été enlevé le 17 janvier 2009, aux environs de 20h, par deux femmes avant qu'elles ne disparaissent dans la nature. La recette principale d'Algérie Poste manque d'équipements Saccagé lui aussi durant les regrettables émeutes qui avaient ébranlé plusieurs édifices publics et privés dans différentes communes de la wilaya de Chlef à la fin du mois d'avril de l'année écoulée, le siège de la recette principale d'Algérie Poste se trouvant au centre de la ville de Chlef manque, aujourd'hui, de plusieurs équipements et de beaucoup de travaux de réhabilitation à son niveau. En effet, l'absence de chauffage et de climatisation au sein de l'ensemble des guichets également dépourvus de numérotations et autres plaques d'indication rend difficile la mission du personnel postier qui travaille dans des conditions des plus défavorables pendant toutes les saisons. “Nous visons le spectre du froid cruel en hiver et de la chaleur torride en été. Comme vous êtes en train de le constater, nous recevons quotidiennement un public nombreux que nous devons obligatoirement satisfaire en matière de prestations de services et ce, malgré les conditions climatiques dans lesquelles nous travaillons et qui sont dans la plupart des cas insupportables. Même les vitres en plexiglas, qui étaient placées au niveau des guichets et qui nous séparaient du public, ont été saccagées lors des évènements d'avril 2008. Mais à ce jour, elles n'ont pas été remplacées, ce qui complique davantage nos missions respectives”, témoignent certains employés de cette administration postale qui souhaitent que tout cela doit faire l'objet d'une particulière attention de la part des responsables concernés. Ahmed Chenaoui