TIARET Le wali déclenche une enquête À l'issue d'une visite de travail et d'inspection qu'il a effectuée dernièrement au niveau des localités de Melakou et de Sidi Bakhti, le wali de Tiaret a été contrarié par les flagrantes défectuosités qui caractérisent les aménagements de nombreux établissements scolaires. Ainsi, considérant que les actions réalisées sont loin des travaux escomptés, voire un incontestable écart entre les devis et les réalisations, M. Bousmaha Mohamed n'a pas été lent à décider la mise en place d'une commission d'enquête devant aboutir à des éclaircissements. Ce dernier n'a, cependant, pas manqué de tirer à boulets rouges sur les différents partenaires directement impliqués dans ces tâches, à savoir les responsables locaux et les services techniques. Par ailleurs, il y a lieu de rappeler que la réhabilitation des établissements scolaires a coûté la bagatelle de 97 milliards de centimes supportés par le Fonds commun des collectivités locales (FCCL). R. SALEM Installation du bureau local du CNRC Le Comité national pour le rassemblement des citoyens (CNRC) créé en début de ce mois de mars et chapeauté par M. Bouali El-Hadi, vient d'installer son bureau local à Tiaret. Ce dernier, président par M. Sellami, a élu domicile au sein du complexe touristique Les Abassides et regroupe différentes franges de la société civile issues du mouvement associatif local. S'agissant des objectifs escomptés par ce comité, ils s'articulent, selon le coordinateur national, M. Oulbachir Hadj-Ahmed, un homme très connu dans le domaine hôtelier, autour d'une sensibilisation citoyenne quant à la nécessité de concevoir en masse le devoir électoral. R. SALEM RELIZANE Pressions sur la directrice dU CEM chibani L'enseignant Amamri Kamel se rétablit et est en hors de danger suite à l'agression dont il a été victime au sein de l'établissement Chibani A. au chef-lieu de la wilaya où il exerce. Les syndicats autonomes ont trouvé dans cette agression un alibi pour faire subir à la direction de l'éducation des pressions pour l'éviction de la directrice dudit CEM en appelant à un sit-in tout en demandant le renforcement des mesures sécuritaires au sein de l'établissement scolaire. Toutefois, cette dérive condamnée par l'ensemble du personnel de l'éducation et les citoyens de Relizane est devenu un alibi à la section de l'UNPEF qui veut profiter de l'incident pour régler ses différends avec la directrice qui aurait procédé selon des informations en notre possession à la coupure de l'alimentation en électricité du siège de l'UNPEF raccordé à cet établissement d'une façon illégale. K. AYMEN