troubles survenus lors du derby constantinois Un joueur de l'équipe nationale de tennis écroué Après avoir entendu, mercredi dernier et jusqu'à une heure tardive, les supporters soupçonnés de trouble à l'ordre public et de dégradation de biens lors du derby constantinois du lundi dernier, le parquet de Constantine a ordonné la mise en détention préventive de 8 jeunes alors que 18 autres ont bénéficié de la liberté provisoire. Selon nos sources, parmi les inculpés figurent un athlète de l'équipe nationale de tennis et plusieurs étudiants. Souheila B. Théâtre régional de Constantine Lumières maghrébines Le Théâtre régional de Constantine (TRC) abrite, depuis jeudi dernier le long d'une décade, les journées théâtrales maghrébines de la cité. Le coup d'envoi a été donné jeudi par la programmation de Ghadab el achikin, du TRC, suivi, hier, par la pièce El Radjoul al ari, du TNA. Lors de ces journées, les pièces théâtrales Horass el madina et Houa, respectivement tunisienne et marocaine, seront présentées au public du Vieux-Rocher. Tous les spectacles sont programmés à partir de 20 heures, donnant ainsi un peu de lumières à la cité,, qui baissent rideau dès 17 heures. Mourad K. Ziama Mansouriah (Jijel) Des jeunes ferment la RN43 Les jeunes de la commune de Ziama Mansouriah ont recouru,, mercredi dans la soirée, à la fermeture de la RN43 reliant la wilaya de Jijel à celle de Béjaïa. Les jeunes de la commune ont barricadé ce grand axe routier à l'aide de pierres et autres objets hétéroclites au niveau de la sortie ouest de la commune. Les protestataires sont des jeunes qui émargent dans le nouveau dispositif d'emploi des jeunes chômeurs dans le secteur économique. Ils ont bénéficié d'un contrat d'une année avec une indemnité mensuelle de 12 000 Da qu'ils n'ont pas touchée depuis quatre mois, date de leur recrutement. Après le déplacement des autorités locales sur les lieux pour prendre langue avec les jeunes en colère, la route a été dégagée tard dans la soirée. Un engagement a été pris pour régler ce problème dans les prochains jours. M. BOUCHAMA