Université de Skikda Mouvement de grève de la filière traitement des eaux Un mouvement de grève a été entamé, il y a une semaine, par les étudiants de 3e année LMD dans la filière traitement des eaux à l'université de Skikda qui ont décidé, samedi, le prolongement de la grève pour protester contre ce qu'ils ont appelé “les manœuvres du rectorat à leur encontre”. Les étudiants pétitionnaires revendiquent leur droit à l'inscription en 4e année master au niveau de l'université de Skikda. Le rectorat, quant à lui, explique que la validation de masters proposés au niveau de cette université dépend de la commission nationale. Toutefois, il rassure les étudiants qu'en cas de refus d'inscription de leur filière à l'université de Skikda, il s'engage à leur permettre une inscription dans d'autres universités. A. Boukarine Abattage illicite d'arbres à Djebel El-Ouahch (Constantine) Les services de la Conservation des forêts enquêtent Une enquête a été déclenchée, au courant de la semaine écoulée, au niveau de la circonscription des forêts, concernant la réserve biologique de Djebel El-Ouahch, à Constantine. En effet, les résultats de cette enquête préliminaires ont révélé que pas moins de 50 arbres de cèdre ont été coupés illicitement. Cet acte criminel contre la nature, puni par la loi, a été commis par des braconniers qui restent, à ce jour, non identifiés. L'enquête est encore en cours, selon des sources au fait du dossier. Notons que ce n'est pas la première fois que la réserve biologique de Djebel El-Ouahch est troublée par l'irresponsabilité de l'être humain. Betina S. Sit-in des ex-employés d'Asmidal devant la wilaya d'Annaba Le dossier sera transmis aux autorités publiques Les ex-travailleurs d'Asmidal ont tenu, samedi dernier, un rassemblement devant le siège de la wilaya. Ils demandent principalement la réintégration à leurs postes de travail, notamment pour ceux âgés de moins de 55 ans (une cinquantaine). Ils exigent également une retraite conséquente et digne pour les autres. C'est ainsi que le wali d'Annaba a pris l'engagement de transmettre leur dossier aux ministères de l'Intérieur et du Travail et de la Protection sociale. Les ex-employés concernés sont au nombre de 300 aujourd'hui. Alors qu'en 1997, ils étaient 600. En fait, ils veulent bénéficier des mêmes avantages accordées aux travailleurs de Fertial qui ont été réintégrés il y a quelque semaines dans leurs postes respectifs. En outre, les contestataires ont révélé “l'existence d'un trou de 13,3 milliards dans les caisses des œuvres sociales de l'entreprise en 1997 qui aurait été passé sous silence par l'administration du complexe de l'époque”. Hafiza M.