À Constantine, les seuls feux rouges implantés depuis déjà deux années à hauteur de la maison de la culture El-Khalifa sont mis hors service dès le départ des agents de l'ordre en charge de la gestion de la circulation. Un comportement contraire à tout bon sens et qui en dit long sur l'absence d'une politique cohérente de gestion de la circulation dans le Vieux-Rocher. Logiquement, les feux remplacent le policier et l'inverse est vrai. Faire de la sorte qu'après le départ de l'agent de l'ordre, en fin de journée, est une invitation au désordre et culturellement improductif. Il s'agit d'une façon inconsciente d'éduquer les usagers de la route à l'anarchie. Une action qu'aucune loi ne corrigera plus tard.