L'interprète doit d'abord dire à son frère le songeur : “Tu n'as vu que du bien.” On raconte que le Prophète (QSSSL) disait lorsqu'on lui raconte une vision : “Que tu reçoives du bien et sois protégé du mal, que du bien nous soit accordé et du mal à nos ennemis, louange à Dieu, Seigneur de l'univers, raconte ton songe.” L'interprète doit aussi interpréter selon les suppositions les plus favorables. Tout bon interprète doit bien écouter le récit de la vision et puis explique clairement sa réponse. Il doit également prendre son temps avant de donner son interprétation. L'interprétation exige la distinction des songeurs ; le songe de la femme ou de l'homme n'est pas pareil du souverain du responsable... L'interprétation du songe de l'enfant se rapporte à ses parents. L'interprète devrait bien réfléchir sur le récit du songe. Si le songe est bénéfique, il pourrait l'interpréter ou faire son possible pour donner les meilleures possibilités. S'il est en partie bon et en partie mauvais, il comparera les deux parties et choisira la plus forte selon les principes. Si le songe lui pose un problème, il devrait demander le nom de l'homme qui lui raconte le songe et donner l'interprétation en fonction de son nom. Il est détestable de raconter la vision le mardi, car c'est le jour de l'effusion de sang ; le mercredi, car c'est le jour de la malchance éternelle, quant aux autres jours, ils ne sont pas détestés.