Contrebande à SETIF Saisie de 17 quintaux de tabac à chiquer Les éléments de la brigade de Gendarmerie nationale d'Ouled Tebène, au sud de Sétif, sont parvenus à arrêter une personne et à saisir 17 quintaux de tabac à chiquer contrefait pour une valeur estimée à 50 millions de centimes. Moulue et empaquetée dans des sachets, la quantité saisie allait être écoulée dans la wilaya de M'sila. Les gendarmes ont pu mettre fin aux agissements de cette bande. Pour le moment, seul le chauffeur d'un véhicule utilitaire transportant la marchandise contrefaite a été arrêté. Les gendarmes poursuivent leur enquête dans la région connue pour ce genre de trafic. F. Senoussaoui Hécatombe sur les routes de Constantine Trois morts et trois blessés Une collision entre deux véhicules légers survenue sur la RN 5, entre Mila et Constantine a causé, mercredi soir, la mort de trois personnes alors que trois autres ont été blessées. L'accident a eu lieu aux environs de 21 heures, selon les éléments de la Protection civile. Plus tôt dans la même journée, une étudiante âgée de 21 ans a été blessée, après avoir été percutée par un bus de transport en commun, à hauteur de l'université Mentouri de Constantine. La victime qui présentait de multiples blessures sur le corps a été conduite aux urgences dans un état grave. Lynda N. Un quinquagénaire arrêté à Batna Il commercialisait des CD pornographiques Les éléments de la Gendarmerie nationale de la wilaya de Batna ont réussi, au cours de la semaine denière, à mettre la main sur un important lot de compacts-disques contenant des films pornographiques. La saisie des 350 CD à été faite dans une vidéothèque située au centre de Batna et appartenant à un homme âgé de 57 ans. Ce dernier à été arrêté et présenté devant les instances judiciaires qui ont ordonné, tard dans la journée de mercredi dernier, sa mise en détention provisoire. F. Lamia Aïn Oussera Des familles sinistrées squattent des logements sociaux Une vingtaine de familles sinistrées, rescapées des inondations qu'avait connues la ville d'Aïn Oussera le 28 septembre dernier, occupent, depuis deux jours, des logements neufs et non encore livrés à la cité dite El Wiâm 140 logements, non loin de l'auberge de jeunesse dans la partie ouest de la ville. Se plaignant de “l'incompréhension des autorités locales”, ces familles refusent catégoriquement de quitter les lieux, malgré la présence policière, et demandent à voir le wali en personne. Sur place, certaines ont même menacé de s'immoler par le feu ou de se jeter du haut de l'édifice où elles ont passé la nuit, bravant le froid et l'obscurité. D'autres disent qu'elles ne croient plus au dialogue et aux fausses promesses, surtout après avoir été reconduites de manière peu chevaleresque par les responsables”. Ainsi, en l'absence de véritables interlocuteurs, et avant de donner “l'assaut”, les services de sécurité ont fait appel, tenez-vous bien, à une personne influente de la société civile, un imam, pour mener la médiation et tenter de ramener les protestants à la sagesse. Pour sa part, le chef de daïra, joint par téléphone, affirme que “l'affaire est entre les mains de la justice, seule habilitée à statuer dans cette affaire, suite aux plaintes déposées par l'Office de promotion et de la gestion immobilière (OPGI) et de l'entreprise chargée de la construction”. S. OUAHMED